Marks & Spencer a orchestré un plan de relance en 2004, dans trois domaines.
- Les produits
- L'environnement commercial
- L’Experience client et les services
- ils ne trouvaient pas ce qu'ils voulaient,
- ils ne trouvaient pas de gens pour les aider,
- les environnements commerciaux étaient critiqués comme "triste et fade et nous recevions de nombreuses plaintes sur ces sujets.
Le catalyseur de départ était de donner un niveau de service et de satisfaction plus élevé à nos clients !Une phase d’écoute des besoins des clients, des réunions au sujet de leurs attentes, l'exploration dans les détails, couplés avec une étude des bonnes pratiques de la concurrence d’autres organisations de référence.
Nous avons identifié l'écart que nous devions non seulement remplir, mais dépasser afin d’être de nouveau en tête.
Nous avons parlé à nos clients et avons été à l’écoute de leurs attentes. Ce qu’ils voulaient était simple : avoir des gens gentils, serviables et compétents.
Et donc ça a été notre point de départ : Répondre concrètement à ces attentes.
Cette définition, que Marks & Spencer appels « Our Service Style » , se compose de quatre éléments:
- être positif,
- être déterminé,
- prendre en charge,
- être respectueux.
La dernière pièce du puzzle, conçu pour piloter l'amélioration continue est un programme de mesure avec :
- le déploiement de clients mystères
- un programme « voix du client » qui capture les informations à travers les médias, y compris les plates-formes sociales.
Et nous avons maintenant une unité "Connaissance de la clientèle" qui mène des sondages à la sortie des magasins et réalise des groupes d’écoute de clients.
La chose que nous essayons vraiment de développer est de pousser nos collaborateurs en magasin d’aller à la rencontre et de parler plus aux clients, de leur demander ce qu’ils pensent ce qu’ils attendent, de façon à ce qu'ils puissent le traiter sur-le-champ.
La chose la plus fondamentale est d'utiliser vraiment ce que les clients vous disent.Un grand nombre d'organisations ont une énorme quantité d’études, mais parfois ils posent les questions auxquelles ils ont déjà des réponses, plutôt que de simplement écouter ce que les clients demandent et de le faire. "
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Christian BARBARAY http://www.init-marketing.fr/
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