Tout le monde rend hommage à Sean Penn sous pretexte qu’il est Président du Festival de Cannes, sexy, intelligent et talentueux, mais
- Il ne ressemblait à rien quand il était avec Madonna. C’est pas pour rien qu’on les appelaient «les pénibles». Dans le genre je me prend pour James Dean il se posait là.
- Depuis quand il n’a pas eu besoin d’aller en rehab ?
- Il n’est pas bling bling. Il n’a pas de rolex, n’est pas pote avec Lagardère, n’a pas épousé un ex-mannequin et ne joue pas au jeux des 7 erreurs avec Berlusconni.
- Il n’est ni noir, ni juif, ni gay, ni musulman, ni une femme, ni handicapé, ni né dans le ruisseau d’une famille désunie. Du coup je me demande à quoi il sert.
- Il n’a pas joué dans la fête à la maison ni les années collèges ni madame est servie ; ils sont où les standards et grands classiques ?
- Il n’a pas adopté un petit enfant d’Afrique ni du Laos (et ça se dit humaniste)
Plus sérieusement, Sean Penn devrait être à l’affiche d’un prochain Gus Van Sant. Après quoi je pourrai mourir. Il y retrouvera Emile Hirsch, le (très sexy) acteur principal de Into the Wild.