Quel mobinaute n’est jamais tombé sur un site particulièrement mal conçu pour les terminaux mobiles ? Scrolling horizontal nécessaire à chaque ligne de texte, image mal adaptée, les mauvaises expériences sont nombreuses, et un bon mobisite est plus que jamais perçu comme un signe de professionnalisme. Voici une infographie pour bien penser son site mobile.
Des mobinautes exigeants
Des navigations différentes selon les terminaux : les mobinautes ne prennent pas le temps de naviguer et veulent trouver l’information en deux clics au maximum. Aller directement à l’essentiel : tel pourrait être le mot d’ordre pour bien designer un site mobile.
Près de la moitié des mobinautes désapprouvent les sites non optimisés, et autant sont moins susceptibles de s’engager avec une entreprise dont l’expérience mobile est mauvaise. Un très clair manque de professionnalisme pour les utilisateurs.
source : FrenchwebUne navigation propre au terminal mobile
On ne s’étonnera pas dans ce cas de voir que les mobisites les plus réussis sont les plus simples et les plus intuitifs. La conception du site mobile part là encore de principes simples. Les mobiles sont peu puissants, et susceptibles de se connecter via des réseaux plus limités, tels que la 3G ou l’Edge, il s’agit donc d’éviter les images, vidéos et Javascript. Les sites qui présentent ce type de contenus peuvent ainsi aboutir à un temps de chargement très long qui décourage l’utilisateur.
Le choix du Responsive Design ?
Le principal intérêt de ce panel d’outils est qu’il permet d’afficher le même contenu sur différents supports. Ainsi sur un écran plus petit, le site est naturellement recentré sur le contenu, et ça tombe bien puisque c’est exactement ce que recherche le mobinaute. Le principal avantage du Responsive Design découle de ce parti pris du minimalisme : il s’affichera toujours très rapidement. Mais est-il plus efficace qu’un site mobile ?
Le web design représente ainsi un enjeu crucial aujourd’hui, est intimement lié à l’ergonomie, et l’architecture d’un site. Un enjeu que les experts de Creads ont décodé lors d’un podcast sur le sujet. A (ré)écouter sans modération :