RAPPEL 1/ annonce ci dessous : Jeudi soir à 20h30 si cela vous dit. Je ne peux pas y aller hélas ! mais si quelqu'un de confiance y allait, il pourrait me raconter.
moi qui adore les péplums... à moins que j'y aille tout de même... Pour un soir je peux peut-être m'échapper...
Quel titre
Objet : Hercule à la conquête de l'Atlantide
Bonjour Madame Feyt,
Nous passerons jeudi soir à 20h30 un Péplum très rare à l’écran. Il s’agit de Hercule à la conquête de l’Atlantide. Xavier Leherpeur (critique cinéma) et Florent Fourcart (auteur de Le Péplum italien, Grandeur et décadence d’une antiquité populaire) animeront un débat à l’issue de la projection.
En espérant vous voir très nombreux pour cette soirée tout en muscles.
Florent Fourcart dédicarera son livre dès 19h.
En espérant vous compter parmi nous.
Cordialement.
Nicolas Clautour
Coordinateur cinéma
HERCULE À LA CONQUÊTE DE L’ATLANTIDE (V.O.)
Péplum de Vittorio Cottafavi (Italie – 1961 – 1h38) avec Reg Park, Fay Spain, Etytore Manni.
Epris de justice et défenseur des opprimés, le fils de Zeus décide de traverser les océans afin d’affronter la cruelle Antinéa, reine de l’Atlantide qui menace la Grèce et dirige d’une main de fer un royaume dont la technologie avancée a été détournée pour assouvir ses penchants conquérants et destructeurs. Au cours de son périple, il devra faire face à de multiples dangers, combattre des monstres reptiliens, se battre contre une armée de clones et se défendre contre des lasers futuristes.
Réalisé par Vittorio Cottafavi, l’un des grands maîtres du Cinéma d’Aventure transalpin, ce célèbre épisode des aventures du héros musclé est l’un des chef-d’œuvres du genre. Si la tonalité délicieusement « kitsch » du scénario lui confère un aspect souvent décalé, le film évoque en sous-texte de nombreuses préoccupations de l’Italie des années 50-60 (luttes des classes, peur de l’apocalypse nucléaire et des dérives de la science, émancipation féminine, généralisation des congés payés, etc…). A noter également une apparition étonnante de Gian Maria Volontè en diplomate grec !
Jeudi 11 avril à 20h30.
Séance suivie d’un débat avec Xavier Leherpeur (critique cinéma) et Florent Fourcart (auteur de « Le Péplum italien, Grandeur et décadence d’une antiquité populaire »).
Signature du livre par l’auteur à partir de 19h.
Florent Fourcart (auteur du Péplum italien, Grandeur et décadence d’une antiquité populaire)
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C'est le temps où il va falloir cacher les Rolls... Jusqu'où va aller la chasse aux sorcières.... Hier cher Didier, j'étais a l'espace Vuitton, pour une tres belle lecture, des lettres entre Gallimard et Proust, avec Didier Sandre & Olivier Steiner, années 1913/1919, je me suis dit pourquoi pas non plus leur demander la liste de leurs clients français, à LV et chez le voisin Kenzo ... Je me dis que les crises de moralisation conduisent au lynchage de pas vraiment plus coupables que leurs voisins.... Et pendant ce temps là, les ceux qui détiennent les réels pouvoirs économiques poussés dans une danse du toujours plus de bénéfices, à n'importe quel prix humain : guerres au Congo ou licenciements qui se partage le prix de la chair... sont "intouchables". Apprivoiser les excès ce n'est pas chercher le bouc émissaire...
C'est aux impôts de vérifier les fraudes pas au peuple ?! Un référendum sur la moralisation, ça aussi ce serait une belle connerie !? alors quoi plus de syndiqués plus de militants : la proportionnelle ? Et surtout arrêter de croire aux miracles... au bonheur au retour...de quoi ?! A part le retour du printemps, être amoureux, chercher tout le temps, aider, en rire ou en pleurer, la citoyenneté...
je ne vois rien ma sœur à l'horizon , ah c'est vrai je n'ai pas de sœur, pas de Dieu et mon mari est avant tout un joueur de casse têtes et un lecteur de BD at home et un syndicaliste opiniâtre au boulot. Hier où je me plaignais de tout..il m'a dit : le mieux c'est de faire au jour le jour...
Et aussi, Gallimard et Proust eh bien vous savez, eux aussi malgré la guerre, le manque de communications, ils faisaient au jour le jour et étaient capables, en pleine santé, ce qui était assez rare à l'époque semble t-il... de faire 18 km a pied pour aller porter une invitation à un ami, avec une cape doublée de velours rouge, un chapeau un peu ridicule et de la poussière aux souliers.... cet homme là c'était Marcel Proust lorsque Gaston Gallimard jeune homme l'a vu pour la 1ère fois... Coup de foudre ou envie de lui ressembler... les deux se mêlent...
Alors vous me direz cette lecture privée, le théâtre en appartement devrait être supprimé, c'est une invention de riches... oui mais de mécènes et dans les artistes, il y a tjrs eu des hasards dans la réussite d'un fils de tapissier... ou d'un autre qui travaillait dans les assurances(Molière Kafka). Et d'autres hasards entre bergères et princes, où vous êtes cueilli par la culture et la veille d'un printemps tardif.... Didier Sandre et Olivier Steiner : des princes ? non de ceux qui partent d'un endroit de la scène, d'une lecture, de votre vie, de votre tête "toujours avec élégance"et qui font le mieux du monde, ce pourquoi ils sont faits : la complicité, le partage au large avec des choses de la Vie comme ces lettres extraites de la plus exigeante culture, oeuvres essentielles mais qu'il faut savoir relativiser... Gallimard n'était aussi qu'un éditeur, mais quel éditeur... et Proust savait être des plus charmants et aussi une "emmerderesse" en diable ! mais cependant un génial écrivain.
Si on ne l'avait pas connu édité s'il avait été bien portant et chair à canon en 14/18...
Olivier, Didier Sandre, LV, merci, qu'ils soient ricches ou pauvres j'ai envie de les filmer, m'avait dit un réalisateur de documentaires.
En attendant que cela commence j'ai fait du léche vitrine et j'ai regardé le défilé Kenzo en vidéo. Je suis restée en dehors, mais j'ai repéré un imper de toute beauté.
CINEMA j'y reviens, je ne vous ai pas dit d'aller voir absolument, The Place beyound the Pines...
une semaine après j'y pense encore une semaine ou presque, ah les acteurs, la façon de tourner, l'histoire... j'ai pensé à ce qu'aurait été ma vie sans... mon père, le théâtre... Voilà du James Gray et du Capra ! je le reverrais et avec mon Chéri-chéri qui a beaucoup aimé... THEATRE
Bertrand,
je sais je ne suis pas encore venue : la santé, les anciens nos parents à Pascal et à moi et les spectacles des élèves à Philippe Person et à moi, me tiennent en fragile équilibre
et compte tenu de la fatigue chronique générale... J'attends la retraite avec impatience.
j'ai encore du temps jusqu'au 28 Avril...je t'ai vu dans les bonnes critiques, et en plus ta photo est bonne, dans l'affiche. Tu ne changes pas. Cela doit t'être passionnant de jouer cette pièce là si longtemps.
je viendrais dans la semaine du 22 au 28 quel jour préfères-tu ?
à bientôt, nathalie.