Les seconds couteaux des publications choisies par l’ICIJ s’en donnent à coeur joie.
Ils découvrent comme des gosses ce qui existe sous leurs yeux depuis plus de 40 ans dans le domaine des sociétés-écrans.
Ils feignent aussi de découvrir que des avocats ou/et des sociétés fiduciaires trempent dans la confiture depuis très longtemps aussi. Dramatique naïveté et surtout pétard mouillé, du moins pour l’instant.
L’utilisation de sociétés offshore est à la planification fiscale moderne ce que les guggenmusiks sont aux orchestres philharmoniques. Depuis belle lurette, les véritables professionnels ne les conseillent plus et surtout ne les utilisent plus.
On n’est jamais mieux servi que par ce qui est massivement sous le nez de l’adversaire. Et par exemple ce qui est domicilié intelligemment en France voisine, même sous gestion socialiste.
Tout est question de méthode et d’approche, pas seulement technique, mais surtout psychologique.
De ceci, les actuels « acteurs » de l’Offshore Leaks s’apercevront lorsqu’ils auront suffisamment grandi, disons dans quinze ans au mieux.