Les collusions actives entre le pouvoir socialiste et les FEMEN

Publié le 08 avril 2013 par Tchekfou @Vivien_hoch

Une enquête parue dans le numéro de mars de l’Observatoire de la Christianophobie.
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On connait bien les Femens, à l’Observatoire de la christianophobie. Représentantes par excellence de la vulgarité de cette société de l’image absconse, imago demonologiae. On les retrouve pourtant dans toutes les strates du système : journalisme, politique, lobbying, etc.  Aujourd’hui, que sait-on sur certains des membres de ce groupuscule extrémiste, et de ses collusions avec le pouvoir médiatique, politique et financier ? 

1- Loubna Meliane est une assistante du député socialiste Malek Boutih, qui a fait ses campagnes électorales sans faire sourciller personne. Après avoir été exclue du mouvement « Ni putes, ni soumises » , elle depuis 2003 intégrée au Conseil national du Parti socialiste…

2- Safia Lebdi, qui a été virée de l’association « Ni putes ni soumises » (elle aussi…), n’est rien d’autre aujourd’hui qu’une élue-de-la-République, conseillère régionale d’Île-de-France (du Val d’Oise) d’Europe écologie les Verts, élue sur la liste de Cécile Duflot, actuelle ministre du gouvernement de François Hollande.

3- Éloïse Bouton, qui se dit « journaliste », est en fait une prostituée pratiquant notamment toute sorte de pervesrions comme en atteste son profil d’escort girl à Paris.

4- L’éminence grise des Femens est un homme. Viktor Sviatski, décrit comme un «dominateur», qui n’hésite pas à donner des ordres à ses petites soldates. On sait très peu de chose sur cet individu, sinon qu’il a « une parfaite maitrise du monde médiatique ».

5- Leur centre d’entraînement a été inauguré 18 septembre, un centre dans le quartier populaire de la Goutte d’Or, à Paris. Accueillies en France par le théâtre « Le Lavoir moderne », financé par la Mairie de Paris, à auteur de 49.500 euros (en 2011) et bénéficiant de subventions «exceptionnelles» pour renflouer les comptes.

Le mardi 5 mars, France télévisions – chaîne d’État payée avec votre redevance de 129 euros en 2013 – programmait en prime time un documentaire produit et réalisésur commande par la « journaliste » et «reporter» Caroline Fourest sur le groupuscule extrémiste Femen.

 Caroline Fourest, féministe d’extrême gauche et récemment «élevée au grade» de Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres par le gouvernement socialiste,  a passé  outre les délit commis par ses petites amies, notamment à la cathédrale Notre-Dame de Paris, où nous avons récemment appris qu’en plus des dégradations, un vol avait été commis. Sur Europe1, Inna et Sacha Shevtchenko, deux militantes des Femen, ont avoué « emporté un petit bout d’or » lors de leur action à Notre-Dame-de-Paris le 13 février dernier. En plus d’êtres cathophobes, haineuses,  bêtes, terroristes, impudiques et moches, elles sont voleuses !

Mais rassurez-vous : il se trouve que cette misérable propagande d’État financée par vos impôts n’a rassemblé que 7,3 % de l’audimat, une audience décevante pour France 2 selon le site de Jean-Marc Morandini consacré à l’actualité de la télévision. On ne va pas s’en plaindre !

Rémy Pflimlin, PDG de France Télévision, prenant la pose avec Caroline Fourest et une FEMEN


 

Pour fêter cette occasion, l’Institut Civitas, victime, comme tant d’autres, de la haine de ce groupuscule extrémiste, publiait une photo de Rémy Pflimlin, le PDG de France Télévision, prenant la pose avec Caroline Fourest, «essayiste lesbienne», ainsi qu’avec la meneuse de cette milice cathophobe. Voilà qui permet de comprendre un peu plus ce qui se trame derrière toute cette propagande et ce laxisme.