La vieillesse s’impose de toute son évidence,
La renier ne serait-il renier notre naissance,
En elle la somme des certitudes de nombre d’années,
Nombre de jours d’une existence toute vouée à la gloire de notre amour,
Au rendu de notre noblesse spirituelle,
Elle rend la mort,
O grand certes,mais guide est-elle bien avant tout,
Vers cette autre réalité,vers cet éternel présent,
Vers le divin pays des plus précieuces volontés,
Des voeux sincères de notre être profond,
La vieillesse laisse tomber ce manteau de chair devenu si lourd,
Laisse notre âme retrouver toute sa vérité originelle,
Son éternelle jeunesse.