Par ailleurs, The Economist est inquiet pour la France, ses scandales et son faible président. Ils pourraient entraîner la zone euro par le fond. Et plomber son projet d’Union bancaire, à laquelle The Economist semble très attaché. L’Angleterre s’attaque à son système de sécurité sociale. The Economist, a-t-il lu ce blog ?, pense que ce type de réforme à peu de chances de réussir. Le pays ferait mieux de revoir la philosophie du dispositif, en en faisant une assurance contre les accidents de la vie. Aux USA, comme dans le reste du monde, on est las des partis politiques. Ne défendent-ils pas l’intérêt de quelques-uns plutôt que le collectif ? Tentative de constitution de partis centristes. Mais, en se servant du dit mécontentement, ne vont-ils pas provoquer un rejet de la démocratie ? Ne serait-il pas mieux de faire fonctionner le système existant ? se demande The Economist. Je m’interroge, quant à moi : pourquoi en est-on venu à croire que la seule alternative aux intérêts en place était le populisme ?
La Corée du Nord pourrait-elle déclencher une guerre ? Son nouveau dirigeant est sorti de la gesticulation contrôlée de son prédécesseur. Comportement rationnel, ou acte de folie ? Et le tuteur chinois hésite à intervenir.
Les banques centrales impriment beaucoup d’argent. Ça ne fait pas redécoller l’économie. Les entreprises, qui ont énormément de cash, ne l’investissent pas dans leur outil de production. Elles recherchent des placements financiers à haut rendement. On semble reparti pour une bulle spéculative, si je lis correctement cet article. On en revient même aux subprimes.
Big Data est utilisé pour le recrutement des petits boulots. Ça ne marche pas pour les cadres.