Sur les différents sites Libéville - la déclinaison locale de Libération - les correspondants du quotidien à Lyon et Toulous e viennent de laisser un dernier message à leurs lecteurs pour annnoncer la fin de ces sites. Déjà en 2011, LibéRennes, LibéLille, LibéStrasbourg, et LibéOrléans s'étaient éteints après trois à quatre ans d'expérimentation.
Avec l'arrêt de ces deux derniers Libévilles, Libération met fin à toutes ses tentatives d'informations de proximité, même si le journal assure qu'il continuera à traiter cette actualité dans ses éditions papiers et numériques nationales.