Se rendent-ils compte simplement des dégâts qu'ils commettent et des problèmes qu'ils préparent pour le futur. Quel plaisir y aura-t-il bientôt à vivre dans un quartier aussi disgracieux, au bâti aussi hétérogène ? Ajoutons que le quartier, à 19 heures, est mort. Nous sommes dans une zone réisdentielle pure. Que va-t-il se passer dans une dizaine ou une quinzaine d'années quand les enfants des gens qui vont s'installer auront grandi et se demanderont, juchés sur leurs mobylettes, ce qu'ils pourront bien faire de leurs soirées ?
Je crois bien que nos socialistes locaux n'y ont pas pensé ! Comment tout cela va-t-il finir ?