Les spermatozoïdes humains apprécieraient l’hiver... Ils seraient en effet plus nombreux et surtout plus mobiles durant la mauvaise saison, du moins chez les hommes ne souffrant pas d’infertilité. Y a-t-il donc de meilleurs moments pour faire des bébés ? Bien que les hommes et les femmes puissent théoriquement concevoir des bébés tous les mois de l’année, les études démographiques montrent que l’on observe une saisonnalité des naissances depuis aussi loin qu’on remonte le passé. Mais celle-ci est variable et dépend aussi des époques. Par exemple, au XVIIe siècle en France, les accouchements étaient surtout concentrés entre janvier et avril. Pourquoi ? Parce que durant cette période, la population suivait avec plus de rigueur les principes religieux, et certains prônaient l’abstinence lors de célébrations particulières ou bien que l’union d’un couple ne pouvait être consommée qu’une fois l’homme et la femme mariés. Aujourd’hui, les courbes se sont nettement homogénéisées, même s’il existe encore des variabilités selon les mois. Ainsi, dans l’Hexagone, les bébés naissent davantage entre mai et septembre. À quoi cela est dû ? Probablement à certains critères socioéconomiques, mais aussi à cause de la célébration du passage à la nouvelle année… Mais peut-être que la biologie est également derrière tout cela.. En effet, des chercheurs israéliens de l’université Ben-Gourion du Néguev viennent de faire un constat surprenant dont ils ont fait part dans la revue American Journal of Obstetrics and Gynecology. Leur étude montre que le sperme humain est plus fécond lors des mois d’hiver et jusqu’au début du printemps.
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Les spermatozoïdes humains apprécieraient l’hiver... Ils seraient en effet plus nombreux et surtout plus mobiles durant la mauvaise saison, du moins chez les hommes ne souffrant pas d’infertilité. Y a-t-il donc de meilleurs moments pour faire des bébés ? Bien que les hommes et les femmes puissent théoriquement concevoir des bébés tous les mois de l’année, les études démographiques montrent que l’on observe une saisonnalité des naissances depuis aussi loin qu’on remonte le passé. Mais celle-ci est variable et dépend aussi des époques. Par exemple, au XVIIe siècle en France, les accouchements étaient surtout concentrés entre janvier et avril. Pourquoi ? Parce que durant cette période, la population suivait avec plus de rigueur les principes religieux, et certains prônaient l’abstinence lors de célébrations particulières ou bien que l’union d’un couple ne pouvait être consommée qu’une fois l’homme et la femme mariés. Aujourd’hui, les courbes se sont nettement homogénéisées, même s’il existe encore des variabilités selon les mois. Ainsi, dans l’Hexagone, les bébés naissent davantage entre mai et septembre. À quoi cela est dû ? Probablement à certains critères socioéconomiques, mais aussi à cause de la célébration du passage à la nouvelle année… Mais peut-être que la biologie est également derrière tout cela.. En effet, des chercheurs israéliens de l’université Ben-Gourion du Néguev viennent de faire un constat surprenant dont ils ont fait part dans la revue American Journal of Obstetrics and Gynecology. Leur étude montre que le sperme humain est plus fécond lors des mois d’hiver et jusqu’au début du printemps.
posté le 11 mai à 15:01
et plus actif et gaillard dans les pays froids ?