Rendre l’onirisme est toujours un exercice périlleux pour les réalisateurs. André Chocron évite tous les écueils en utilisant ce qu’il faut d’effets spéciaux au milieu de longs travellings et de plans séquences.
Le réalisateur, déjà remarqué pour sa collaboration récente avec Jonas Alaska, confirme son aisance technique et narrative.