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L’Interview Très Stratégique du 1er réseau social d’Art: Artviatic

Publié le 05 avril 2013 par Darkplanneur @darkplanneur

Darkplanneur vous convie à une expérience de type unique avec aujourd’hui, la découverte intimiste du 1er réseau social dédié à l’art, Artviatic. Un réseau social qui vient bousculer les conventions d’un marché ouaté, tout en conservant une démarche totalement exclusive, affinitaire, sur-mesure… Je vous invite à vivre l’ombre de quelques instants, l’expérience de Luxe ultime.

Ils sont au nombre de trois, nos mousquetaires qui veulent révolutionner le monde de l’art en le projetant dans l’ère digitale: Antoine Van de Beuque (le  fondateur), Antony Riand (le directeur exécutif)  Anne-Hélène Decaux ( la directrice de la communication) magnéto:

L’Interview Très Stratégique du 1er réseau social d’Art: Artviatic

Darkplanneur: Qu’est-ce qu’ArtViatic?

Antoine Van de Beuque: C’est une plateforme internationale de vente de gré à gré et élitiste, étant donné que les œuvres qui seront sur le site sont estimées à plus ou moins 150 000€. Cela touche aussi bien la peinture, les œuvres sur papier, que la sculpture. ArtViatic est née de mon expérience : j’étais courtier pendant de nombreuses années (depuis 1987) ce qui m’a permis de rencontrer des acheteurs comme des vendeurs, de solliciter justement des œuvres et de pouvoir faire des échanges. Cette expérience m’a permise de voir toute la problématique des métiers de courtier et de marchand, car j’étais marchand également et je le suis d’ailleurs toujours : à partir du moment où un vendeur vous confie une œuvre d’art, si vous n’avez pas le carnet d’adresses pour pouvoir négocier cette œuvre, vous êtes alors obligés d’en parler à d’autres personnes, d’autres intermédiaires, galeries ou courtiers. La problématique est très importante puisqu’une œuvre qui vous est confiée, a un prix de départ et dispose ensuite d’un prix de présentation à l’acheteur.

Le problème c’est que le vendeur a confié une œuvre d’art à un prix et pense le vendre à ce prix : généralement, ce prix a été estimé soit par la personne à qui elle a été confiée, soit par une maison de vente publique ou encore un expert. Ensuite, il ne contrôle plus rien : il ne sait pas à qui le tableau est proposé, ce qui est normal car cela fait partie du carnet d’adresse de la personne qui est en charge de la négociation. Mais la difficulté ici est que si la personne n’a pas l’identité d’un acheteur, elle le confie à différentes personnes. Parfois, on se rend compte que l’œuvre ne se vend pas, « l’œuvre se grille toute seule » pour employer un terme du métier, parce que tout le monde considère que le prix est trop élevé et les chaînes d’intermédiaires peuvent aller de 1, 2, 3 , 4 , 5 fois voire parfois plus…C’est de ces constats qu’est née ArtViatic !  L’idée était de faire une plateforme fermée, élitiste puisque les droits d’accès à la plateforme et de son contenu, s’élèvent à une somme de 3500€ par an, mais ces droits d’accès permettent de mettre une ou dix œuvres, il n’y a pas de limites.

L’intérêt d’ArtViatic est de mettre les acheteurs et les vendeurs en contact direct ; au départ, ils négocient à l’aveugle, ensuite s‘ils s’entendent sur les prix, les coordonnées de l’acheteur sont envoyées directement au vendeur, avec une commission maîtrisée et claire, à savoir 3% côté acheteur 3% côté vendeur.

 D: Que signifie ce nom ArtViatic ?

AVdB:  Il faut extraire le terme Art, et se focaliser plutôt sur la Viatique : la Viatique est un droit de passage… historiquement c’était une somme qui était remise à quelqu’un pour voyager ou pour construire sa vie.

 D: Quelles sont les évolutions dans le monde de l’art aujourd’hui ?

AVdB: Il y a un grand bouleversement : actuellement les maisons de vente publique fonctionnent très bien, mais l’évolution du marché de l’art passe incontestablement par l’utilisation d’internet, car avec la multiplication des ventes aux 4 coins du monde, les collectionneurs ont juste besoin d’une connexion web pour mener à bien leurs négociations.

Quant au marché lui-même, la difficulté vient du fait que les tableaux sont de plus en plus chers, les galeries ont de plus en plus de difficultés pour pouvoir acquérir des œuvres, elles rentrent donc davantage dans le courtage, à la place d’acheter des œuvres et de pouvoir les négocier elles-mêmes. La galerie traditionnelle reste très intéressante car elle possède pignon sur rue mais pour évoluer, elle est  aussi obligée d’utiliser internet pour négocier des œuvres : le monde change.

D: Qu’est-ce qui vous a motivé à passer à l’ère digitale ?

AVdB: Mais c’était tout simplement de suivre l’évolution des choses, créer une plateforme pour aller vers l’avenir. Si j’étais resté marchand privé, c’était pour moi la fin d’une activité. Quand vous vous déplacez, vous voyez qu’en Chine et aux Etats Unis ils sont très intéressés et ont une maitrise d’internet, alors que le marchand traditionnel ne les intéresse plus vraiment. Aujourd’hui les gens sont impulsifs : ils ont besoin de communiquer sur internet et de voir immédiatement ce que vous proposez. Internet, et le monde de l’art doit bien l’intégrer, ce n’est pas l’avenir, c’est définitivement le PRESENT !

D: Comment le monde très traditionnel de l’art a-t-il perçu l’arrivée d’ArtViatic ? (Sotheby’s, Christie’s, etc..)

AVdB: du milieu ? Oh c’est de la curiosité : savoir si je vais aller jusqu’au bout. Sur le principe, ils trouvent que l’idée est excellente et intéressante, Mais ce qui les inquiète un peu c’est le fait de posséder, comme moi, un carnet d’adresses important. J’ai quand même travaillé pendant 10 ans pour la Galerie Wildenstein en tant que vice-président, donc je suis à même de sortir des tableaux importants, de pouvoir en parler à des collectionneurs et de les intéresser à ce nouveau mode de fonctionnement.

D: N’y a-t-il pas une forme désacralisation de l’objet d’art (la fin d’un certain cérémonial) à travers le projet digital  ArtViatic ?

AVdB: Sincèrement, je pense que les temps ont beaucoup changé et je répondrais que Non ! Il faut se souvenir, qu’il y a à peu près 25 ans, les personnes qui fréquentaient vraiment les galeries étaient des collectionneurs: quand ils rentraient dans les galeries, ils étaient soit bien reçus, soit pas reçus du tout, en fonction du nom qu’ils portaient.

A l’époque de Françoise Cachin, qui était directrice du musée d’Orsay (1980′s), vous aviez de très grandes expositions qui n’intéressaient qu’une niche d’initiés , aujourd’hui la mentalité, la génération, tout a changé ! les personnes ont l’envie et le plaisir de se cultiver, de sortir, de distraire leurs enfants, et une véritable volonté de regarder ce qui existe ou ce que nos ancêtres ont pu faire. Il y a eu une véritable motivation à s’intéresser à l’art mais pas forcément à se rendre dans les galeries. La galerie avait une réputation difficile, les gens ont peur d’ y entrer, ils n’ont pas peur de regarder mais de demander simplement une information. Je vais vous raconter une anecdote qui raconte bien la situation : j’étais dans la galerie d’un grand marchant, un client rentre dans sa galerie puis regarde un beau tableau, il s’adresse ensuite à la secrétaire « pourriez-vous me donner le prix svp ? », la secrétaire d’adresse alors à la secrétaire de la galerie qui va à son tour voir le client et lui dire le prix. L’acheteur éventuel lui répond « Ah… C’est très cher », et le marchand de lui répondre, « Quand on n’ a pas les moyens, on ne vient pas chez moi ». Vous vous rendez compte de l’erreur commise par ce marchand ?

ArtViatic – Un nouveau modèle pour le marché de l’art. from ArtViatic on Vimeo.

D: Antony, comment sélectionnez vous les membres de la communauté Artviatic?

Antony Riand: ArtViatic est un club privé, accessible grâce à deux types abonnements payants:

Le premier, ArtViatic « Premium », permet à ceux qui le souscrivent d’accéder à notre catalogue en ligne de façon illimitée pendant un an et de mettre en vente et négocier en direct autant d’œuvres que vous le souhaitez.

Le second, ArtViatic « First Access », permet à ceux qui souhaitent uniquement vendre une (ou plusieurs) œuvre(s) de proposer celle(s)-ci aux membres de notre réseau, sachant que l’inscription de la première œuvre au catalogue ArtViatic est gratuite.

D: Comment garantir la sécurité des transactions ?

AR: Pour garantir au mieux la sécurité des transactions, nous avons mis en place un compte séquestre dans l’une des plus grandes banques monégasques. En versant le montant de la transaction sur ce compte de dépôt, notre établissement bancaire devient le garant de la somme déposée. Les montants versés sur ce compte y sont séquestrés jusqu’à ce que l’acheteur prévienne ArtViatic de la réception de l’œuvre, qui donne alors son aval à l’établissement bancaire pour débloquer les fonds au profit du vendeur.

 D: Pourquoi avoir choisi les mots de : Transparence / Confidentialité / Sécurité ?

AR: Nous avons longuement analysé le marché de l’art afin de comprendre les attentes de ses acteurs et les codes qui le régissent. Ceci fait, nous avons essayé de répondre au mieux aux problématiques du marché en construisant, avec nos développeurs et nos juristes, une offre inédite adaptée, avec une véritable valeur ajoutée.

Pour nos clients, la « confidentialité » et la « sécurité » sont primordiales. C’est la raison pour laquelle nous avons un niveau de sécurité équivalent à celui d’une banque. Pour protéger au mieux les informations qui transitent sur ArtViatic, nous utilisons les mécanismes de défense les plus pointus et les meilleures pratiques actuelles en matière de sécurité informatique. De même, pour nous assurer que les œuvres en vente sur ArtViatic aient une provenance parfaite, nous avons mis en place des critères de sélection et une procédure d’approbation excessivement stricte.

 Nous mettons aussi l’accent sur la « transparence » qu’offre ArtViatic car les acteurs du marché de l’art réclament, à tous les niveaux, moins d’opacité. L’information doit être immédiate et fluide, les prix affichés, de même que les commissions. ArtViactic est né du constat que beaucoup de transactions n’aboutissaient pas dans les conditions traditionnelles qui impliquent de nombreux intermédiaires et rencontrent parfois les limites de l’éloignement géographique. Pour ces transactions, le marché a besoin de plus de fluidité, de plus de transparence, il y a un vrai besoin que acheteurs et vendeurs puissent, parfois, entrer directement en contact.

ArtViatic – Comment ça marche ? from ArtViatic on Vimeo.

 D: Quelles ambitions pour 2013?

AR: Nous souhaitons d’abord nous développer au sein des domaines artistiques. Aujourd’hui, nous présentons des œuvres impressionnistes, modernes et contemporaines, dans notre domaine d’expertise. Nous souhaitons cependant nous ouvrir à d’autres domaines, d’autres époques. Mais toujours l’art.

Question développement géographique, nous avons choisi de nous développer d’abord dans les pays francophones et anglo-saxons avec qui nous avons des liens particuliers. Nous irons ensuite vers le Moyen-Orient, l’Asie, la Russie et le Brésil, en fonction des opportunités. Enfin, nous souhaitons développer de nouvelles offres, pour s’assurer que l’ensemble des acteurs ait accès à ArtViatic.

 D: Anne-Hélène dites nous, finalement,  Artviatic c’est quoi ? Un réseau social, un site participatif, un blog ?

L’Interview Très Stratégique du 1er réseau social d’Art: Artviatic

Anne Hélène Decaux: Je parlerais plutôt de réseau social. C’est ce dont nous nous rapprochons le plus. Nous avons un blog par ailleurs, mais ce n’est pas Artviatic : il s’appelle « News of The Art World »,  c’est un blog participatif où chacun peut s’exprimer et où l’on trouve également des articles de fond, des focus, des interviews et des news du marché de l’art.

Artviatic, quant à lui permet à des vendeurs et des acheteurs du monde entier de se rencontrer: c’est un réseau, pas tout à fait social, puisqu’il est fermé. Il n’est pas ouvert à tous comme Facebook, Twitter et autres, c’est plutôt  un réseau exclusif avec un catalogue d’œuvres d’art d’exception,  des œuvres légalement disponibles sur le marché, et nous travaillons en étroite collaboration avec Interpol pour garantir l’honorabilité des transactions pour nos membres. Ceux-ci vont entrer sur la plateforme en tant que membres et découvrir le catalogue des œuvres authentifiées et expertisées. Lorsqu’ils en trouvent une qui les intéresse, ils entrent en contact avec le vendeur. Avec Artviatic, nous sommes la première plateforme internationale qui propose de mettre en relation directe les acheteurs et les vendeurs d’œuvres d’art d’exception.

D: Peut-on considérer ArtViatic comme un Asmallworld pour les férus d’art ?

AHD:Il est certain qu’ArtViatic comme Asmallworld, s’adresse à une clientèle de haut vol. Il s’adresse à des collectionneurs, à des acheteurs, à des vendeurs d’œuvres d’art estimées à plus de 150 000 euros. Du fait de notre exclusivité et notre côté niche, on se rapproche d’eux, en tout cas du Asmallworld originel.  ArtViatic est pensé comme un facilitateur de vente: en rapprochant l’acheteur et le vendeur et en supprimant les intermédiaires, on augmente les chances de vente pour le vendeur et d’achat pour l’acheteur. On est en contact direct avec le vendeur et non avec un tiers.

D: Comment positionnez-vous la marque ArtViatic dans le monde de l’art et du luxe en termes de communication?

AHD: ArtViatic s’appuie tout d’abord sur une expertise, ce qu’on appellerait en finance un « track record », de 17 ans. ArtViatic n’est pas une start-up qui serait née de l’esprit entreprenant de jeunes qui auraient la volonté de changer le marché de l’art. ArtViatic est dans le marché de l’Art moderne et contemporain depuis 35 ans et a sa société exclusive à Monte-Carlo depuis 17 ans: on s’appuie donc à la fois sur un véritable savoir-faire et sur une expérience forte. De ce fait, on véhicule déjà une image de confiance; par rapport au luxe, je crois aujourd’hui que les œuvres d’art d’exception en sont un réel prolongement , comme le prouve d’ailleurs la typologie des collectionneurs.

Il y a un profond rajeunissement des acheteurs, qui sont voués à être les vendeurs de demain. Ils s’intéressent plus à l’art contemporain mais sans délaisser l’art moderne. Le rajeunissement des acheteurs va avec le phénomène du rajeunissement des fortunes.

Pour le véritable client de l’univers du luxe, il s’agit d’abord d’une progression: au début, il  se tourne vers le luxe classique avant de se pencher vers l’art comme un prolongement de son costume sur mesure, de sa paire de Berluti, ou de son yacht. L’œuvre d’art est l’objet ultime de luxe !

D: Quel est le profil du membre ArtViatic ?

AHD: Le profil du membre ArtViatic est assez hétéroclite. Les membres premium, acheteurs et vendeurs, qui ont accès au catalogue, sont très souvent des institutionnels. J’entends par là des fondations privées, des collections privées et aussi beaucoup de Art Services et de banques privées. Cela nous permet de toucher bien plus de gens. En effet, chacune de ses institutions ont elles-mêmes des dizaines de clients. ArtViatic est véritablement une nouvelle alternative sur le marché de l’art, car le plus important pour le collectionneur qui cherche à acheter une œuvre d’art, ce n’est pas le canal. Aucun collectionneur n’achète que chez Christie’s par exemple, ce qui est important, plus que la vitrine, c’est l’œuvre en tant que tel.

C’est la raison pour laquelle nous avons créé ArtViatic : il y a une véritable sélection et de plus nous sommes des spécialistes reconnus dans l’univers.

 D: Quels sont vos outils pour travailler la désirabilité d’ArtViatic ?

AHD: Par rapport à nos clients, à nos membres, le plus important est la qualité. Pour que la plateforme soit désirable, il nous faut communiquer autour de la qualité des œuvres qui y sont et qui ne sont pas accessibles à travers d’autres réseaux.

La plupart des œuvres du site sont en exclusivité sur cette plateforme. Elles ont été auditées avec le plus grand soin, ce qu’on ne retrouve pas forcément dans les autres canaux. Chaque œuvre a un certificat et est confrontée à la base de données d’Interpol. Nous sommes des spécialistes qui ont pour certains, trente ans de maison et donc une véritable expérience pour pouvoir analyser les œuvres, vérifier leur provenance. Avec cet ensemble de dispositions, les membres de notre réseau se savent en totale confiance.

 D: Plus spécifiquement, en terme de communication, comment entretenez-vous la communauté d’ArtViatic ?

 AHD: On fédère une communauté de gens assez différents ! Ils se retrouvent d’abord dans le fait qu’ils collectionnent de l’art. Cette communauté est assez disparate et reste une niche. Dans ce cadre, notre communication s’apparente à de la séduction des CSP +++.

Nous sommes dans une communication à peu près du même type qu’une maison de haute joaillerie ou de haute couture.

Notre site qui est notre outil se doit d’être la fois beau et facile à utiliser: on a ainsi fait appel aux développeurs et aux graphistes les plus pointus, les mêmes qui font les sites des musées , des personnes en mesure de répondre aux attentes de notre clientèle, tant en termes de design que des meilleurs critères de sécurité avec des mots de passe à usage unique ou des codes de connexion qui sont envoyés sur le téléphone portable comme pour les sites des banques. Un tel dispositif, extrêmement sécurisé et élaboré ajoute à la confiance.

Notre communication passe aussi beaucoup par le biais des institutions. Nous participons à des tables rondes, à des forums, nous faisons des partenariats avec des sociétés qui ont les mêmes ambitions que nous. Nous avons un partenariat avec la Société Générale, un autre avec TransArt par exemple. A travers ces réseaux, nous communiquons, nous nous faisons connaître, de même qu’à l’aide de relations presses.

Nous traitons aussi différentes questions clefs du moment sur ArtViatic : où va le marché de l’art ? Le marché de l’art est-il vraiment une valeur refuge ? Quel est l’avenir du marché de l’art avec Internet ? On ne parle pas seulement d’ArtViatic car nous sommes aussi des acteurs à part entière de l’art 2.0.

 Enfin, en vous inscrivant à notre newsletter hebdomadaire, qui est disponible en français et en anglais, vous aurez notre point de vue et vous saurez en l’espace de cinq minutes ce qui s’est passé sur le marché de l’art la semaine précédente. Cela intéresse énormément un cercle beaucoup plus large que notre communauté premium. Cette newsletter commence à très bien marcher : sur le seul mois de janvier, nous avons eu 1 000 nouveaux abonnés !

Pour aller plus loin, nous avons donc créé ce blog que j’ai évoqué en début d’interview et qui est en fait un véritable webzine : « New of The Art World » également en anglais et en français, il reprend les news et permet aussi d’interviewer des acteurs du marché de l’art, de faire des focus sur des œuvres ou des expositions. Nous partageons aussi en live les événements auxquels tout le monde ne pourrait avoir accès. Avec Artviatic nous avons l’ambition de donner une vision nouvelle au monde de l’Art.

L’Interview Très Stratégique du 1er réseau social d’Art: Artviatic

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