Arrivé cet été à Livingston (D2 écossaise), Anthony Andreu (24 ans, 7 buts et 9 passes décisives cette saison) a découvert les charmes de la Scottish Division One (D2). S’il est tombé amoureux de certains stades, comme ceux de Dunfermline et de Partick, le milieu français a aussi connu un vrai traquenard : Cowdenbeath (D2 écossaise).
« Je me souviendrai toute ma vie de notre déplacement à Cowdenbeath (D2). Le match devait être reporté tellement il pleuvait. Mais ils voulaient vraiment jouer et la rencontre a été maintenue. On n’y voyait rien et on est arrivé au stade. Je pensais que c’était une blague car la pelouse est entourée d’une piste de NASCAR ! Il y avait même une voiture et on voyait les feux du départ au loin. C’est complétement surréaliste.
En plus, il n’y avait personne à cause du temps (407 spectateurs, plus faible affluence du championnat). C’est une atmosphère très particulière. Le pire, c’est qu’on prend un but au bout d’une minute et on a galéré pour égaliser. Le vrai traquenard. »
Central Park, le stade de Cowdenbeath (D2 écossaise), est assez surprenant
Retrouvez les deux premiers épisodes de cette série sur « leurs traquenards du football britannique » avec le témoignage de Guy Moussi (Nottingham Forest, D2) et Maxime Blanchard (Plymouth, D4).