Il a beaucoup été reproché au précédent Président de légiférer à l'événement, sans autre recule que l'émotion de la population.
Le nouveau Président avait solennellement déclaré qu'on ne l'y prendrait pas.
L'affaire de l'ex-ministre et de ses comptes secrets semble lui avoir fait oublier cette promesse avec l'annonce d'une rafale de nouvelles lois.
Il est bien sur indispensable de moraliser la chose publique et ceux qui s'en occupent. Mais ce qui est caché le restera tout autant, aussi longuement qu'il n'y aura pas de délit de mensonge public pour nos édiles induisant leur inéligibilité définitive.