Des scènes de crime allant crescendo.
Cela démarre avec un simple coup de griffe dans les premiers instants du film pour terminer 1h30 plus tard avec un festival de boyaux orchestré par la révolte des mannequins. Complètement tripé.
Presque crédible, Mister Frodon collectionne les mannequins en plastique et semble leur redonner vie. Devinez pourquoi? Un rappel évident à sa maman disparue qui s’envoyait en l’air dans son arrière-boutique. Drogue (quasi pas), sexe (deux nichons, au mieux) et une très bonne bande originale (youpie!). How original.
Une épopée sois-disant psychologique où le Maniac rencontre des filles via internet (c’est le mal!) et tente de les chérir. Au lieu de cela, il s’offre leur coupe de cheveux, machette aiguisée et bol de sang à l’appui. Le fétichiste du scalp semble doux comme un agneau. Sa rencontre improbable avec cette photographe – qui comme par hasard, adooooorerait faire une expo sur sa collection de mannequins – tient moyennement la route. On a toujours besoin d’une blonde légèrement naïve et qui vient justement ( ! ) de s’engueuler avec son mec… du pain béni pour un serial killer…
BIFFF – Maniac (2012)
crédit photo: imdb.comArticles similaires:
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