Vive la "malbouffe", révélateur social!

Publié le 03 avril 2013 par Orlandoderudder
03 avril 2013

Encore un frais soleil. Uhne journée sympa en perspective. Avec le bonheur d'être soi... Et d'aimer vraiment ce qu'on aime... C'est important! Car c'est la lberté...
Encore un jour où je verrai peut être, avec la déléctation de l'être supérieur, les bourgeois de naissance ou d'esprit parler de "malbouffe" pour la nourrituture qu'il est de mauvais goût'" d'aimer dans leur groupe social et qu'il n'aiment pas uniquement par besoin de distinctions, de supériorité bourgeoise.Or cette bouffe n'est pas "dégueulasse" comme ils disent, puisque des gens qui valent mieux qu'eux, plus simple, plus vrais, l'apprécient: le goût n'est pas trop fort, repoussant au point de faire vomir... De toute façon les"gastronomes" par distinction on sait comment les confondre et je l'ai beaucoup fait: le vin.
Mettre un bon vin dans une bouteille d egrand cru, ça marche souvent... L'étiquette suffit et tous ou pesque le trouvent délicieux et y vont de leurs commentaires "connaisseurs" ...
Plus ils méprisent le hamburger et son chimiophobes, plus ils sefont avoir et sont bidons: je suis impitoyable.... Plus subtil et pus coûteux est le contr'aire: mettre un vin exc"llent dans une bouteille de leurs "vins d epays" âcres et déséquilibrés qu'ils duvent tant aimler vu que c'est la mode... ILs le trouvent bon, tout ça mais n'ont pas le goût assez éduqué pour comprendre et apprécier ce dont il s'agit vraiment... le premier casc'est comme lorsqu'on met une confiture ordinaire dans un pot à étiqette calligraphiée: ça marche à tous les coups! On la trouve meilleur... Les modes vestimentaires servent à montre r que celui qui les suit se croit meilleur lou veut donner l'impression qu'il l'est!
Après on va se taper un hamburger parce que c'est agréable: on aime plus d echoses qu'eux, on sait aussi sde taper un tendron de veau bourgeoise, un lièvre à la royale et l'on se marre de voir ces CONS esclaves de leur besoin de distinction sociale... On trouve évidemment beaucoup de ces dégoûtés dans la vraie droite fausse gauche écolo- bio: des menteurs, des faquins grotesques, des foutriquets sentencieux!

L'opposition au hamburger c'est à la fois le mépris du pauvre, du "vulgaire" et celui des jeunes... avec la chimiophobie ("tout ce qui est chimique donne le cancer" ) et la célébration du "naturel" et de la "santé à tout prix", on rejont la veille droite obscène dont la seule morale est le mépris et le renforcement d'un sentiment de supériorité sociale parfois angoissé.

Ces gens jouent un rôle, ne sont jamais sincères et sont dangereux en amour comme en amitié: ils déçoivent ou font des crasses... Avec amusement, je mets au point des petits tests pour les confondre, monter et leur montrer qu'ils friment, ne sont pas sincères. S'ils sont trop "bio", trop panurgesque, trop suivisgtes, trop prétentieux, il faut les humilier. Mais non leur écraser la tronche à coups de bébé-phoques comme ils le méritent.;Ls refus d el'alimentation des autres à déjà pas mal nui dan sl'hostoire, mais le "c'est dégueulase" (avec la moue prétentiarde qu'il faut) n'est pas aussi dangereuse que le hallal ou le casher... Le bio ne tue pas pour l'instant: ses sectateurs se la jouent non-violent.
Ce midi j'irai peut-être au maquedot... Mais je ne retouve pas ce vieux tee-shirt vec l'effigie d eJohnny Halliday: j'aimais bien me monter avec pur révulser ces petits bourges... Il faudrait aussi que je me trouve une "grosse popu", une amie obèse qui parle fort, sui est "vulgaure" à leurs yeux car le "bon goût", l'écolo-bio pratiquent une dictiination sociale effroyable, faute de pouvoir être raciste comme les ancêtres, ils en rajoutent! Notre devoir de vraies personnes, de citoyens, est de les démasquer! aunjourd'huo, face à la merveilleuse modernité, il y a trop de frime, e mensonges réactionnaires...ça nuit.

J'ai été fort supris de découvrir qu'il y a beaucoup de gens vraiment connaisseurs qui ne dédaignent pas la "malbouffe", mais sans oser l'avouer, et qui s etapent un hamburger en cachette pur ne pas se déclasser: bon signe!

Ce sour, rognon Bercy... (la vraie recette de légende voudrait qu'on fasse cuire le rognon sur un feu de douves de vieux tonneaux provenant des défunts entrepôts de vin de Bercy)
Toute persone qui dit "c'est dégueulasse" et parle de "malbouffe" est supsectge de bourgeoisisme méprisant, de dédain de classe, de racisme social.LEs goûts alimentaires sont tous culturels et ne servent qu'à la distinction: il faut savoir raison garder et respecter les autres!