Bien sûr, les questions abordées touchent toute la société française.
Ainsi, du travail des enseignants et de l’importance de l’école. Je ne suis pas au fait des questions mises en débat par le ministre, mais j’ai quand même l’impression que, toujours quand vient un débat, il se trouve des gens qui se plaignent qu’il arrive trop tard. Plus loin dans ce même numéro de L’impossible, au contraire, Hélène Hazera regrettera « le retard pris par ce gouvernement de sociaux-pleutres » à propos d’une « loi pour les trans permettant le minimum, l’accès à une identité légale correspondant à la vie sociale »…
Mais revenons à Paris et à cet article fort intéressant, parce qu’il remet en perspective toute une histoire d’architecture parisienne (depuis Napoléon III jusqu’à Bertrand Delanoë) : l’histoire d’un trou et de façades, sous le titre « Du fer, rien que du fer, mais que faire ? ».
Les « fragments de la vie mobile » racontent le quotidien d’une conductrice de taxi qui me remet en mémoire le film de Jacques Bral (« Extérieur, nuit »), sans doute parce qu’il est cité dans l’article et par les photos de Florine Synoradzki qui l’accompagnent, et une chanson d’Herbert Pagani (« Radio-taxi ») où il dit : « Non, Madame, moi je vais jamais au cinéma, j’en ai pas besoin, j’ai mon taxi… Qu’est-ce que j’y vois ! Et puis c’est là, c’est tout proche ». Cet entretien me donne l’impression d’écouter une émission de radio.