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"J'ai été pris dans une spirale du mensonge et m'y suis fourvoyé. Je suis dévasté par le remords", écrit l'ancien ministre PS du Budget, qui demande pardon : "A Monsieur le président de la République, au Premier ministre, à mes anciens collègues du gouvernement, je demande pardon du dommage que je leur ai causé. A mes collègues parlementaires, à mes électeurs, aux Françaises et aux Français j’exprime mes sincères et plus profonds regrets. Je pense aussi à mes collaborateurs, à mes amis et à ma famille que j'ai tant déçus." [source]
Je vais être hors charte, pardon toussa mais, monsieur Cahuzac, vous être un con, un vrai con. Merci pour toutes les personnes qui, comme moi, espéraient naïvement un vrai changement en 2012 en virant les pourris de la politique.
Que mes collègues blogueurs de droite ne se réjouissent pas trop vite vu la palanquée d'enflures qui pullulent à l'UMP.