Plus loin, nous entrons dans l'église des Augustins. Aussitôt après avoir refermé la lourde porte, le retable nous éblouit. Un véritable retable baroque dans toute sa splendeur. A remarquer, sous les sièges réservés aux religieux, des figures toutes plus diaboliques les unes que les autres. Autre édifice religieux, l'ancien couvent des Carmes nous accueille par un porche et un mystère qui n'ont rien à envier aux missions jésuites d'Amérique du Sud.
Au lendemain d'une journée de pluie, direction le ciel bleu et l'ouest du Limousin pour aller à la découverte de l'un des plus beaux villages de France : Mortemart. Nous nous situons juste après Bellac, à l'écart de cette fameuse route Océan-Suisse qui porte si bien ce joli nom, en plein coeur des Monts de Blonds, douceur de collines et de prés verdoyants.
Dès l'entrée du village, on se rend bien compte de la raison pour laquelle Mortemart est considéré comme l'un des plus beaux de France, et on tombe immédiatement sous le charme. Au milieu de la petite place ensoleillée remplie de touristes souriants et détendus, le vieux tilleul écarte ses branches par encore garnies de feuilles. Les maisons, toutes rénovées, font briller leurs pierres blanches surmontées de toits de tuiles claires et font comme une ronde autour des murs du château. Et, partout, dans chaque jardin, à chaque coin de rue, des camélias et des tulipiers à foison. Un régal pour le regard.
Plus loin, nous entrons dans l'église des Augustins. Aussitôt après avoir refermé la lourde porte, le retable nous éblouit. Un véritable retable baroque dans toute sa splendeur. A remarquer, sous les sièges réservés aux religieux, des figures toutes plus diaboliques les unes que les autres. Autre édifice religieux, l'ancien couvent des Carmes nous accueille par un porche et un mystère qui n'ont rien à envier aux missions jésuites d'Amérique du Sud.
A l'extérieur, nous nous laissons encore une fois éblouir par le soleil et par son reflet dans les étangs qui entourent le château. Plus loin, ceux-ci forment un paysage tout à fait bucolique. Un petit paradis de silence ponctué par l'écoulement de la petite rivière.
A quelques kilomètres, nous grimpons sur les rochers de Puychaud, un ensemble minéral tout droit sorti d'une forêt de contes de fées, puis nous restons un moment ébahis devant la masse imposante d'un menhir qui dresse sa face en direction du soleil d'ouest, preuve que l'histoire de la région commence bien avant le Moyen-Âge. Il est temps de repartir, mais quelle réjouissance pour les yeux, que de beauté au mètre carré !
Plus loin, nous entrons dans l'église des Augustins. Aussitôt après avoir refermé la lourde porte, le retable nous éblouit. Un véritable retable baroque dans toute sa splendeur. A remarquer, sous les sièges réservés aux religieux, des figures toutes plus diaboliques les unes que les autres. Autre édifice religieux, l'ancien couvent des Carmes nous accueille par un porche et un mystère qui n'ont rien à envier aux missions jésuites d'Amérique du Sud.