Pour moi le poids idéal est celui :
- dans lequel on se sent bien, notre image extérieure en accord avec l’image souhaitée de soi,
- et qui allie aussi une bonne santé, dans lequel on est en pleine forme.
Par exemple, quand j’étais boulimique, je me sentais bien dans ma peau à 47 kg, pourtant du point de vue de la forme, ce poids ne convenait pas du tout à mon corps (qui était souvent fatigué, en hypotension et qui a développé pendant cette période une syndrome de Raynaud [cristallisation du sang dans les petits vaisseaux sanguins lors des basses températures]) ni à mon cerveau (il existe un centre nerveux, un pondérostat qui régularise notre poids et qui me poussait vers des crises d’hyperphagie).
On comprend donc que ce poids idéal ne sera pas le même d’une personne à l’autre et qu’il ne peut être strictement défini par des formules mathématiques.
Ces formules ne sont que des outils qui aident à définir notre poids de forme. Elles sont à prendre en compte tout autant que d’autres indices de notre bonne santé comme les résultats de prises de sang (glycémie, taux de cholestérol, etc.) ou encore notre tension artérielle, notre endurance à l’effort, notre capacité respiratoire et nos propres sensations de forme ou de fatigue.
Vous pouvez retrouvez les formules qui permettent de calculer votre poids « idéal » en fonction de votre sexe, de votre taille et dans certains cas en fonction de votre morphologie/de votre ossature sur cette page. Si vous vous amusez à calculer ce poids idéal avec les différentes formules, vous verrez que l’on obtient des résultats sensiblement différents. Ces résultats ne sont donc pas à prendre au pied de la lettre mais ne sont que des indices pour vous permettre de vous rapprocher de ce fameux poids idéal dans lequel vous vous sentirez bien !
Même chose pour le désormais célèbre IMC (indice de masse corporelle, calculé ainsi : poids (en kg) divisé par la taille au carré (en cm) ). Il s’agit encore d’un outil pour qualifier votre « corpulence » (maigreur, « corpulence normal », surpoids, obésité et obésité morbide). Par exemple les personnes ayant un IMC supérieur à 40 sont dites en obésité morbide et leur IMC est corrélé à un risque accru de maladies cardiovasculaires et de diabète ou encore d’hypertension. Les personnes ayant un IMC inférieur à 18 sont en zone de maigreur et leur santé peut aussi se trouver fragilisée. On remarquera qu’un IMC « normal » correspond à des valeurs situées entre 18 et 25, ce qui là encore correspond à une assez large fourchette de poids possibles pour une même stature. En clair : des variations de poids de 2-3 kg ne sont pas catastrophiques du tout pour la santé ! Une fois encore l’IMC ne doit pas être le seul outil pris en compte pour estimer si vous êtes en sous-poids, en sur-poids ou avez un poids normal…
Plus qu’une question de poids, moi c’est la taille de mes cuisses qui parfois me pose souci, et aussi la circonférence de ma taille…
Deux vilains diamètres qui me sapent parfois le moral quand il est question d’enfiler certains jeans ! Et je ne vous parle même pas de shorts que j’adorerais pouvoir porter cet été sans avoir à me sentir saucissonnée comme une grosse Morteau !
Vous connaissez cette désagréable sensation de cisaillement à l’aine dans votre jean quand vous avez un peu pris de pois (et que vos cuisses crient « au secours, libérez-nous ! » ) ou encore quand vous n’avez qu’une hâte : vitre rentrer chez vous pour pouvoir déboutonner la taille de votre pantalon (parce que vos estomac a désespérément besoin de place pour se sentir bien !).
Conclusion :
- soit j’arrive enfin à trouver LE jeans qui correspond à mes mensurations (mais ça j’ai du mal à y croire ! soit les cuisses passent tip-top mais la taille est 10 km trop large, ou alors la taille pourrait être bonne, enfin si je pouvais passer les cuisses et je ne vous parle même pas des slims dans laquelle j’ai l’impression que mes mollets vont mourir par suffocation ! ) ;
- soit je trouve un sport qui affine un peu les cuisses (mais ça demande de la persévérance, de la régularité dans l’effort) ;
- ou bien je me mets définitivement aux robes !
Moui, moui, moui. Je reste un peu sceptique pour les trois solutions. Ça reste franchement peu évident de trouver des fringues qui collent bien à notre morphologie…
Quoi qu’il en soit, ce n’est pas le poids, ou pas uniquement lui qui fera qu’on se sentira bien dans telle ou telle tenue.