Moment poignant, ce vendredi, au cimetière Montmartre, dans la lumière radieuse d'un matin qu'on eût dit de printemps sans ces bourrasques du nord et ces arbres encore noirs. Même les oiseaux, joyeux et dansants, étaient là, mettant des virgules dans l'évocation - par ses enfants - du toujours jeune homme que Jean-Marc Roberts était resté, de drôles de trilles parmi les paroles de la chanson qu'il avait voulu qu'on chantât en guise de prière : " Il jouait du piano debout " ... Jusqu'au bout, à la dernière halte, rien, dans ce destin dédié à la liberté et à l'amour, n'aura décidément été ordinaire.
Moment poignant, ce vendredi, au cimetière Montmartre, dans la lumière radieuse d'un matin qu'on eût dit de printemps sans ces bourrasques du nord et ces arbres encore noirs. Même les oiseaux, joyeux et dansants, étaient là, mettant des virgules dans l'évocation - par ses enfants - du toujours jeune homme que Jean-Marc Roberts était resté, de drôles de trilles parmi les paroles de la chanson qu'il avait voulu qu'on chantât en guise de prière : " Il jouait du piano debout " ... Jusqu'au bout, à la dernière halte, rien, dans ce destin dédié à la liberté et à l'amour, n'aura décidément été ordinaire.