Comme en poésie N°53

Par Poesiemuziketc @poesiemuziketc


SOMMAIRE

Page 1 : Déjà le numéro 53,édito
Pages 2 à 4 : Richard TAILLEFER
Page 5-11 : Gary CUMMISKEY
Page 12-13 : François TEYSSANDIER
Pages 14 : Didier OBER
Pages 15-17 : Michelle LOUIS
Pages 18-19 : Rodrigue LAVALLÉ
Page 20 : Ludovic CHAPTAL
Page 21 : Kévin BRODA
Pages 22-23 : Fabrice FARRE
Pages 24-26 : Andréa D’URSO
Pages 26-27 : Olivier MASSÉ
Pages 28-29 : Karim CORNALI
Page 30 : Jacques VINCENT
Page 31 : Jean-Marc THÉVENIN
Pages 32-33 : Christophe PETIT
Page 34 : Tristan CABRAL
Page 35 : Ulker UCQAR
Pages 36-38 : Guy CHATY
Page 38 : Tristan ALLIX
Page 39 : Jean-Michel A.HATTON
Page 40 : Simon MATHIEU
Page 41 : Patrick PICORNOT
Page 42-43 : Line SZÔLLÔSI
Pages 44-45 : Béatrice MACHET
Pages 46-47 : Valérie CANAT DE CHIZY
Pages 48-49 : Franck REINNAZ
Pages 50-51 : KIKO
Page 52 : Jean-Marc GOUGEON
Page 53 : Nicolas GERVAIS
Page 54 : Samuel DUDOUIT
Page 55 : Anne-Emmanuelle FOURNIER
Pages : 56-57 : Khaled YOUSSEF
Page 58 : Véronique JOYAUX
Page 59 : Claude RIVES
Page 60 : André NICOLAS
Page 61 : Sydney SIMONNEAU
Page 62 : Bénédicte MONTJOIE
Page 63 : LA PASTICHERIE
Pages 64-65 : CARTES LÉGENDÉES
Pages 66-67 : Isabelle GROSSE
Page 68 : Pierre MIRONER
Page 69 : Jean-Marc COUVÉ
Page 70 : Marie-Françoise DI FRAJA
Page 71 : Gabriel HENRY
Page 72-73 : Michel L’HOSTIS
Pages 74-75 : Daphné VAN HANSEN
Pages 76–78 : LA CITÉ CRITIQUE

éditorial : déjà le 53
Les numéros charnières, à cheval sur deux années, sont ceux de l’angoisse des réabonnements. L’attente insupportable de ces petites lettres avec un chèque à l’intérieur, ou du liquide ou de l’impersonnalité de Paypal (on n’arrête pas le progrès au coin de le revue). Et je me dis qu’avec la crise… allez je remercie les nombreux lecteurs qui se sont réabonnés pour un an ou plus.
La carte blanche à Marc BONETTO a donné un bon numéro, original et drôle. Du coup Hervé MESDON a eu envie de tenter l’aventure autour de sa Bretagne éternelle, et ce sera le numéro de septembre le 55. Ces cartes blanches, par contre ont un peu bouleversé le train-train annuel de la revue et fait que j’ai accumulé beaucoup de bons textes qui se sont entassés sur le coin de mon bureau. J’ai donc décidé d’augmenter encore un peu la pagination, peut-être provisoirement, la revue passe à 80 pages et un numéro très anthologique que ce 53, en m’excusant auprès des poètes pour ne pas mettre autant de poèmes de chacun que je voudrais.
Que le travail de revue fasse passer celui de poète à l’arrière-plan n’est plus à démontrer, servir les autres ne fait pas se servir soi-même. C’est un fait, il y a ceux qui donnent et ceux qui reçoivent, c’est pourquoi j’ai publié mes recueils qui eux servent le poète et la revue… charité bien ordonnée… dit le fabuliste.
Encore beaucoup de poètes présentés expérimentés ou moins, jeunes, ou vieux, avec des orientations poétiques très différentes, c’est mon intention de ne pas privilégier telle chapelle ou telle autre. Le lecteur sait parfaitement bien faire le tri.
Souvent les lecteurs me font part de leurs réactions au numéro, je ne les publie pas, mais je les assure que leur intérêt pour tel ou tel, ou leurs remarques, positives ou négatives, me font toujours plaisir et j’en tiens compte.
Je rencontre de plus en plus de poètes sur facebook, dans ce qu’on appelle les réseaux sociaux ou asociaux, mais qui permettent les échanges. Il y en a même, je ne citerai pas de nom, qui deviennent un peu pénibles par leurs sollicitations continuelles, on ne refera ni l’homme ni le poète, qui veut à toutes fins se voir publier. Par contre j’y mets tous les jours une réflexion sur « 2013 année de la poésie », ça ne mange pas de pain et permet de réfléchir un peu, sur la pratique de l’écriture et de la poésie en ce monde de désaxés infantiles.
D onc une bonne année à tous ceux qui me l’ont souhaitée et surtout comme dit mon toubib, surtout la santé pour vivre heureux.
Dans la vie rien ne distingue un poète d’un quidam ordinaire, ni une poète d’une quidame. Ils ont tous une beauté intérieure, mais ça ne se voit pas. Si vous avez des doutes faites les écrire et ça changera tout.
2013, l’année où on reconnaîtra les poètes dans la rue.
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