Tiens, tiens! Je le savais ma chérie! Des chercheurs britanniques affirment (sans rire) que la testostérone expliquerait pourquoi certains mâles ont un goût du risque financier prononcé. Du même souffle, les gains importants sont rafflés par ceux qui ont le plus d’hormones. Et les pertes? C’est quoi, des castrés! Alors on manque franchement de couilles chez Bear Stearns et à la SocGen!
Sérieusement, AFP rapporte que les chercheurs de Cambridge …”ont suivi 17 courtiers de la City, à Londres, pendant huit jours ouvrés consécutifs et mesuré leur niveau de testostérone deux fois par jour — à 11h du matin, en pleine activité boursière, et à 16h, à la fin de la séance — en prélevant des échantillons de leur salive. Chaque fois qu’ils mesuraient le niveau de testostérone, les pertes et gains boursiers étaient enregistrés.” Et la trouvaille: Le gains boursiers sont plus significatifs chez les traders dont le taux de testostérone est le plus élevé. La testostérone accroit la confiance en soi et le goût du risque!
Érection et spéculation, font donc bon ménage! Ainsi, pour prévenir les bulles spéculatives, Wall Street devrait songer à placer des détecteurs “boursiers” dans les sous-vêtements des employés du parquet!