Bonjour, comment allez-vous en ce vendredi matin ? Hâte d’être en week-end n’est-ce pas ? Et de manger plein de chocolat je parie ^^
Il vous faudra encore patienter quelques heures et pour vous aider, je vais vous parler d’un album de jeunesse que j’ai découvert en faisant des recherches pour mon mémoire.
C’est un ouvrage qui traite de la peur de grandir, entre autres sujets importants. Il s’intitule L’ange des chiens perdus et a été écrit par Adrianna Papini, et publié aux éditions La Compagnie Créative.
Veuillez excuser cette photo plus que médiocre, mais je n’ai pas beaucoup de lumière aujourd’hui dans l’appartement.. donc flash oblige et du coup le titre est un peu caché..
Bref, cet album est très beau et poétique, l’auteur fait passer un message important d’une jolie façon. Voici le résumé de la 4ème de couverture:
Alba, une petite fille qui a peur de grandir et l’Ange des chiens perdus, un clochard bossu, qui vit sous un pont et n’a jamais grandi. Au cours d’un voyage décidé par les « grands », la fillette se penche au rebord d’un pont sur le Danube et croise le regard de celui qu’immédiatement elle appelle « l’Ange », entouré de ses animaux vagabonds comme lui, sans passé ni avenir. Homme quand il faut de la force, femme quand il s’agit de réconforter le petit chien perdu, l’Ange, dans son accueillante ambiguïté, exorcise la peur du monde adulte, avec ses violences et ses interdits. Comme dans les tableaux des Vierges de la Miséricorde vus dans les musées, sous l’ample manteau du clochard, rien n’est choisi, tout est contenu: la force de l’homme, la tendresse de la femme, l’innocence des animaux et les rêves enfantins. Arianna Papini nous raconte, tant par le texte que par les images, la diversité vue avec le libre regard de l’enfant.
Je trouve ce résumé tout à fait vrai, et cohérent. Ce livre va bien me servir pour mon mémoire, c’est une façon d’aborder la peur de grandir d’une manière très particulière, que je n’ai pas trouvé ailleurs pour le moment. Même si les illustrations sont assez simples (malgré le coup de crayon propre à l’auteur) et les couleurs utilisées plutôt « sombres », cet ouvrage me paraît très bien comme support en classe ou bien, pour les parents.
Le connaissiez-vous ? Vous ai-je donner envie d’en savoir un peu plus ? En tout cas, je vous souhaite à tous un agréable week-end de Pâques, que la chasse aux œufs soit fructueuse et on se retrouve dimanche pour l’image de la semaine !