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[Test] Killzone Trilogie

Publié le 29 mars 2013 par Kokiri081187 @DENISLaurent

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Killzone : une tuerie ?

Pour faire un résumé simple et rapide, Killzone est un jeu vidéo de tir à la première personne sorti sur Playsation 2, développé par Guerrilla Games et édité par Sony, il s’agit donc d’une exclusivité Playstation. Le jeu a connu plusieurs suites : Killzone 2, Killzone 3 et Killzone Liberation sur Playstation Portable. Des suites sont également prévues sur PS Vita et sur Playstation 4. Mais qu’est-ce que c’est que cette saga et que valent ces jeux ?

Pour commencer, Killzone se passe dans un futur proche, où la Terre a commencé sa conquête spatiale. Des humains, laissés à l’abandon sur la planète Helghan (ignorés, prisonniers, manque de chance, on ne le sait pas trop) ont du s’habituer à l’environnement hostile de cette planète. Beaucoup en sont morts et d’autres ont su évoluer et s’adapter, donnant une espèce sans doute plus forte et plus résistante que la plupart des hommes, une nouvelle race baptisée Helghast. Ayant forgé une haine envers la Terre et la race Humaine, les Helghast se fixent alors pour objectif la destruction de ces derniers, et de prendre leur place dans l’univers.

Et pour ceux qui voudraient tenter l’expérience par eux même ou à qui j’aurais donné l’envie de jouer : un pack à 50 euros regroupant les 3 jeux (Killzone 1, 2 et 3) est disponible depuis octobre, mais il faut savoir que Killzone 1 est disponible sur le Playstation Store pour 15 euros et que les deux autres jeux sont encore disponibles dans certains magasins.

Killzone : Apocalypse Now

Killzone premier du nom est sorti sur PS2 en 2004, et la première chose qui nous frappe quand on y joue sont sans doute les graphismes. C’est sûr, ça pique un peu les yeux quand on se replonge dans des jeux d’une autre génération, mais on s’y habitue rapidement et à n’en pas douter, le jeu devait être plutôt beau lorsqu’il est sorti. De même, le jeu ne possède pas de touche « sauter » ni de touche « à couvert », ce qui peut surprendre puisque ce sont des actions devenues basiques dans les jeux récents. La jouabilité demande aussi un certain temps d’adaptation, mais n’est en rien catastrophique, au contraire. On s’amuse aussi à retrouver une vraie de barre de vie et la nécessité de chercher des trousse de soins, çà et là.

Halo ? Non mais Halo Killer quoi !

D’un point de vue personnel, j’aurai du mal à qualifier ce jeu comme un Halo Killer. Pas qu’il n’en a pas les qualités, mais plutôt que le jeu n’a pas été pensé de la même façon. Killzone surprend car on a vraiment l’impression de mener une guerre, comme dans un jeu de guerre classique, mais dans un monde futuriste. Le ton est d’ailleurs donné dès le début : dans une tranchée, face à un no-man’s-land, à empêcher la progression de l’ennemi. Ennemi qui ressemble d’ailleurs étrangement à des nazis du futur. Viendront ensuite les bunkers, prises de bases ennemies, prises de pont, crapahutage dans les marais et dans la jungle… en bref, tous les symboles du jeu de guerre sont bien présents.

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Killzone garde l’idée d’un jeu de guerre … dans un monde futuriste

Concernant le scenario, rien d’exceptionnel : la planète Vecta est attaquée par les Helghasts, vous commencez avec un soldat, Jan Templar, qui trouvera des alliés au cours de sa progression, et le groupe tentera de sauver ce qu’ils peuvent de cette planète en attendant les renforts venant de la Terre. D’après la notice, Killzone se passe dans l’année 2357.

On apprécie la possibilité de choisir son personnage au sein de la team avant le début de chaque mission. J’ai décidé de catégoriser les personnages de la forme suivante : le bon (Jan), la brute (Rico) et le truand (Hakha)… et l’espionne (Luger). Les missions se font en général avec tous les membres de l’équipe mais chaque personnage a ses armes favorites, sa façon de procéder et pas toujours les mêmes objectifs de mission. On peut alors recommencer le jeu, ou certaines missions, avec différents personnages afin de voir toutes les facettes ou bien de tester différentes approches (par exemple, la brute prendra une base ennemie de front alors que l’espionne pourra se glisser sous les barbelés pour prendre à revers).

La team de Killzone : Jan, Luger, Rico et Hakha

La team de Killzone : Jan, Luger, Rico et Hakha

Un Helghast averti (ou non) en vaut deux

Les cartes sont assez grandes mais on fait souvent face à un sentiment de vide. Les ennemis ne sont parfois pas si nombreux, on ne trouve que très peu d’alliés et tous les habitants semblent avoir disparu alors que la planète à fait face à une attaque éclair.

- euh ... y a quelqu'un ?

– euh … y a quelqu’un ?

Le nombre de balles nécessaires pour tuer un ennemi peut également surprendre dans les premières minutes de jeu. On remerciera alors le fait que la plupart des armes possèdent un tir secondaire (utilisant des munitions secondaires). Les fusils de base tirent par exemple une décharge de fusil à pompe. Chose bien utile face à un ennemi coriace qui fonce sur vous, mais il faudra être sûr de ne pas vous louper car le rechargement est long et inévitable, ce qui peut vous mettre rapidement en de mauvaises postures. La possibilité de porter 3 armes sur soi est également une bonne chose et, étrangement, aucune arme ne parait futuriste. A croire que le bon vieux projectile de métal est ce qui se fait de plus efficace.

Pour conclure, Killzone est un bon petit jeu sans pour autant être exceptionnel (surtout avec le recul). Les missions sont assez courtes (même si à l’époque elles pouvaient sembler longues) le jeu en comportant 11. Il est utile de l’avoir fait pour comprendre certains clins d’œil ou détails dans les jeux suivants, mais n’est en rien indispensable. Il s’agit-là plutôt d’un jeu de collectionneur ou bien de fan de la série.

Killzone 2 : Le jour le plus long

En démarrant Killzone 2, on a également un choc vis-à-vis des graphismes. A tel point qu’on vérifie la jaquette pour être sûr qu’il s’agit bien de Killzone 2, et on vérifie la date du jeu : 2009. Car oui, Killzone 2 colle une petite baffe graphiquement, il est plutôt beau et même actuellement, pas tous les jeux sur PS3 ne possèdent ce niveau de rendu.

Killzone 2 est beau et vous plonge bien dans l'enfer de la guerre

Killzone 2 est beau et vous plonge bien dans l’enfer de la guerre

Le scenario n’est à nouveau pas bien compliqué mais possède quelques rebondissements intéressants. L’histoire se passe deux ans (donc un Killzone 2 en l’an 2359) après le premier opus et cette fois, c’est vous qui attaquez la planète des Helghasts, Helghan.

Vous ne jouez pas un personnage de l’épisode précédent mais en croiserez certains (le bon étant devenu Colonel et la brute votre Sergent-chef). Exit la possibilité de choisir votre personnage, vous resterez dans les rangers du Sergent Tomas « Sev » Sevchenko, un soldat relativement casse-cou, ce qui tombe bien pour aller déblayer les premières lignes ennemies. La plupart des missions se passent en binôme et il faudra penser à réanimer votre coéquipier lorsque celui-ci tombe à terre (action non réciproque).

La team de killzone 2 : Dante, Rico (déjà présent dans le 1), Sev et Natko

La team de killzone 2 : Dante, Rico (déjà présent dans le 1), Sev et Natko

On remarque à nouveau la volonté de faire un jeu de guerre futuriste dès la première mission qui consiste en un… débarquement, sur une plage, face à des ennemis lourdement armés (de quoi nous rappeler un autre jeu de guerre possédant une mission du même genre). Cette mission donne également le ton : le jeu ne va pas être coton et les Helghasts n’ont pas l’intention de se laisser faire sans réagir, de beaux moments de difficulté en perspective : il va falloir apprendre à mourir un certain nombre de fois. On reste dans le contexte de jeu de guerre, mais dans le genre guérilla urbaine, avec protection de convoi, déblocage ou recherche de route, prise de pont, etc. mais aussi des missions avec des véhicules (chars, robot de guerre, etc.).

Debarquement allié

Debarquement allié

Les Helghats, ces héros ?

On voit également apparaitre une chose curieuse : on suit d’avantage ce qui se passe du côté Helghast que du côté Humain. On se demande alors qui sont les veritables héros du jeu. Ce concept est également très présent dans le 3, à tel point qu’on a du mal à s’identifier au héros humain, à leur cause, contrairement à un Masterchief par exemple. Si vous cherchez un fond d’écran ou un goodies Killzone, il y a de fortes chances pour qu’il soit en rapport avec les Helghasts et non les humains. Si on rappelle que les Helghasts ressemblent à des nazis, on se dit que leur collection peut porter à confusion face à des non connaisseurs.

Il faudra se servir du Sixaxis pour ouvrir les vannes ou placer des bombes

Il faudra se servir du Sixaxis pour ouvrir les vannes ou placer des bombes

On note l’apparition du « saut » et de la « mise à couvert », d’un gameplay grandement amélioré et l’utilisation (assez rare pour le souligner) du sixaxis pour effectuer certaines manœuvres. La barre de vie disparait pour laisser place à un écran qui se noircit et se tâche de sang (un tort d’après moi) et donc la disparition des trousses de soin. On note également l’arrivée de personnages Boss, qui prête à débat (à tel point qu’ils ne seront presque pas présents dans le 3) qui n’apportent pas grand-chose d’intéressant si ce n’est de se poser des questions sur l’anatomie de certaines personnes. On se demande effectivement comment quelqu’un qui a subit 3 grenades, brulé pendant 2 minutes et a reçu 2 tonnes de plomb dans le corps peut encore se relever (bah oui 2 tonnes ça fait lourd, il devrait rester comme une tortue sur le dos).

Le colonel Radec est un Terminator déguisé en Helghast. Il est aussi capable de se rendre invisible et de se téléporter. Vous obtiendrez même un trophée si vous parvenez à le battre en moins de 20 minutes ...

Le colonel Radec est un Terminator déguisé en Helghast. Il est aussi capable de se rendre invisible et de se téléporter. Vous obtiendrez même un trophée si vous parvenez à le battre en moins de 20 minutes …

Un pont trop loin

Killzone 2 est d’après moi un bon jeu, mais il possède certains problèmes assez dérangeants. On a alors l’impression d’être face à des friandises qui sont bonnes et appétissantes mais qui laissent un arrière-gout assez amer. On y joue donc, parce qu’on en a envie, mais on se plaint.

Un écran qui n'augure rien de bon ...

Un écran qui n’augure rien de bon …

Tout d’abord, on ne peut porter qu’une seule arme (+1 pistolet plutôt inutile dans bien des cas et + 1 couteau pour le corps à corps, mais il faut compter 2 longues secondes pour le sortir de sa poche) et les tirs secondaires ont également disparu. Ajoutez à cela un concept que je n’apprécie pas vraiment, le : « si tu n’avances pas je re-pop ». Autrement dit, le sniper est inutile. Car tout ennemi que vous abattez à plus de 25 mètres de distance sera remplacé dans les secondes qui suivent. Si vous restez à couvert derrière le même abri, vous verrez donc des petites montagnes de cadavres s’élever et de nouveaux ennemis qui les escaladeront pour venir se replacer au même endroit. Chose qui m’est véritablement arrivée au cours d’une mission où il faut avancer le long d’un pont. Certaines zones en deviennent comiques car il est préférable de passer en sprintant pour ne se faire que deux ennemis plutôt que de faire ça sérieusement et de faire face à une armée. La discrétion est également très compliquée car la plupart du temps, à peine aurez-vous franchi une porte que des ennemis qui ne peuvent pas vous voir vous courent déjà après.

- tu veux pas mourir plus loin, tu me génes pour viser !

– tu veux pas mourir plus loin, tu me génes pour viser !

J’ai également eu droit à des ennemis qui passent au travers des portes, d’autres qui tirent en faisant passer leur canon au travers des murs. Bref, de quoi avoir parfois envie de jeter la manette par la fenêtre … mais d’aller la recherche vingt minutes plus tard pour savoir la suite de l’histoire.

En conclusion, Killzone 2 est un bon jeu, très prenant mais qui possède malheureusement de petits soucis qu’il faut savoir prendre avec le sourire. On peut également se dire qu’après tout, aucun jeu n’est parfait. Il est fortement recommandé pour ne pas dire indispensable, d’avoir fini Killzone 2 pour jouer à Killzone 3, les deux jeux étant vraiment l’un à la suite de l’autre.

Killzone 2 est à l'image de son manuel : sympathique et prenant mais ... légérement bugé (image de mon manuel Killzone 2 Edition Limité Collector )

Killzone 2 est à l’image de son manuel : sympathique et prenant mais … légérement bugé (image de mon manuel Killzone 2 Edition Limitée Collector )

Killzone 3 : Voyage au bout de l’enfer

Les graphismes de Killzone 3 (sorti en 2011) sont très proches du 2, à tel point qu’on en serait presque déçu. Mais le 2 ayant déjà de très bon graphismes, le 3 les possède également, et le petit logo 3D nous indique qu’il y a tout de même eu une évolution majeure. Malheureusement je n’ai pas pu tester cette fonctionnalité. A noter aussi qu’il peut être joué avec le PS Move.

Sans la 3D, Killzone 2 ressemble à Killzone 3. C'est à dire très beau.

Sans la 3D, Killzone 2 ressemble à Killzone 3. C’est à dire un très beau jeu.

Afin de ne pas spoiler Killzone 2, je ne donnerai pas de détails sur le scenario, mais je peux dire qu’il est beaucoup plus travaillé que ceux des deux jeux précédents. On a effectivement droit à un film d’action hollywoodien (un peu trop selon certaines critiques), dont on se demande comment tout ça va finir et où les auteurs n’hésitent pas à jouer avec la ligne temporelle (ellipses, missions dans le désordre) sans pour autant y faire un nœud et pour le plus grand plaisir de notre curiosité. Basiquement, vous êtes toujours le sergent Sev, vous êtes toujours sur Helghan et ce n’est toujours pas le lieu idéal pour passer les vacances. A nouveau, le scenario s’intéressera d’avantage à ce qui se passe du côté Helghast que du côté humain, avec des cinématiques qui n’apportent aucun intérêt vis-à-vis du personnage mais plutôt pour satisfaire la curiosité du joueur.

Les missions sont beaucoup plus variées : mission discrétion ou en véhicule (déjà présent dans le 2 mais beaucoup plus travaillé dans le 3) .

Killzone 3 vous permet de tester des jouets interessants

Killzone 3 vous permet de tester des jouets interessants

Des améliorations sont visibles par rapport au deux : possibilité de porter 2 armes légères + 1 arme lourde, disparition du « si tu n’avances pas je re-pop » et la disparition des personages Boss (ou presque). On se sent tout de suite plus à l’aise.

Des jouets vraiment interessants ...

Des jouets vraiment interessants …

On remarque aussi qu’on peut faire le plein de munitions en se servant dans des boites présentes un peu partout, tout au long du jeu. La mort est également évitable, puisque lorsqu’on tombe au combat, un allié peut venir nous ressusciter. Malheureusement le système n’est pas très efficace et il est parfois possible d’entendre un « désolé mec, je ne peux pas t’atteindre » alors que l’on se vide de son sang sur ses chaussures tout en lui mordant la jambe de douleur et de colère.

Tirer d’abord, se poser les questions ensuite

On pourrait croire que tout est parfait, mais malheureusement d’autres problèmes sont venus se greffer. Le système de couverture est moins bon que dans le 2, on peut donc mourir alors qu’on se trouve caché derrière une caisse comme si notre personnage n’arrivait pas à suffisamment se baisser pour bien se cacher. Une mort qui, lorsqu’elle nous arrive, parait totalement injustifiée et impossible à éviter. A contrario, les ennemis disposent parfois de protections invisibles et inexistantes. Il n’est alors pas rare d’essayer de viser un ennemi derrière un abri et de voir des impacts de balles apparaitre dans … le vide… juste au-dessus de sa protection et précisément là où se trouve sa tête ou son bras (la magie des texutres).

Dans cette mission, la gravité est quelque peu modifiée ..

Dans cette mission, la gravité est quelque peu modifiée ..

Ces deux problèmes cumulés font qu’il est préférable, pour ne pas mourir vraiment trop souvent, de porter des armes lourdes et d’annihiler une pièce sans même regarder ou se trouvent les ennemis. Pour nous aider, de nouvelles armes bien plus futuristes que les précédentes font leur apparition.

Les soldats d'élites. Un trophée offert pour un combat au corps à corps remporté.

Les soldats d’élites. Un trophée offert pour un combat au corps à corps remporté.

En conclusion, Killzone 3 est sans doute un jeu à avoir fait. A nouveau, les petits bugs sont présents, et à nouveau, il faut savoir les prendre avec le sourire, mais la campagne (bien que courte) vaut le coup d’œil.

Conclusion sur la trilogie

La trilogie Killzone est d’après moi une bonne trilogie même si elle est, comme beaucoup de jeux, parsemée de bugs et de moments énervants. La réalisation de jeux de guerre dans un monde futuriste est assez bien faite et les missions sont assez sympathiques. La durée des jeux est assez courte, mais parfois augmentée par le nombre de morts nécessaires pour venir à bout de certaines missions. Les scenarii ne sont pas vraiment incroyables, mais quelque chose pousse tout de même le joueur à s’intéresser à la suite et à continuer sa progression. C’est donc un bon passe-temps dans un univers graphiquement très beau.

Ce qui me dérange le plus, ne vient finalement pas du jeu lui-même, mais ce qu’on en retient. Comme je l’ai déjà dit auparavant, on se sent finalement plus proche du côté Helghast que du côté Humain. D’ailleurs, même après trois jeux, on est incapable de dessiner sur une feuille le logo de l’ISA (les forces Humaines) alors que l’on commence à connaitre les propagandes de l’ennemi. Les personnages alliés ne sont pas si charismatiques que ça, et il faut bien attendre la fin du 3 pour commencer à s’attacher à Sev. De la même façon, bien que les musiques de Killzone aient gagné des prix, aucune ne nous reste vraiment gravée en tête, aucun thème principal ne semble ressortir, et il sera compliqué d’avoir une sonnerie de téléphone pour dire au monde entier que vous aimez Killzone. Au final, la meilleure façon de montrer que vous êtes vraiment fan consisterait à porter un costume noir et un brassard rouge … ahem. Autant je suis souvent contre la volonté des éditeurs de jouer sur la fanatitude des joueurs, autant pour le coup le problème serait plutôt inverse : on ne nous donne pas beaucoup de points d’accroches pour devenir un grand fan de la série.

- Chérie, ça te dérange si je met un poster de Killzone dans la chambre ?

– Chérie, ça te dérange si je met un poster de Killzone dans la chambre ?

Quoiqu’il en soit, Sony n’a pas l’intention de laisser tomber cette saga, et des jeux sont déjà annoncés.

Killzone à venir

Killzone Mercenary

Il s’agira du prochain Killzone disponible, sur PS Vita, à partir du 17 septembre. Le joueur prendra le rôle d’Arran Danner qui est, comme le nom du jeu l’indique, un mercenaire qui pourra se battre aussi bien côté Humain que côté Helghast, en fonction de la somme déboursée. Ce système parait assez intéressant et une certaine liberté sera présente dans la façon d’accomplir les missions (armes et tactiques) et les récompenses se feront en armes ou en argent.

La campagne se passera après le premier volet, Danner ayant pour mission de protéger la famille de l’ambassadeur de Vecta, et possèdera une durée de vie d’environ 9 heures. Pour apprécier ce jeu, il sera donc peut être préférable d’avoir au moins joué au tout premier Killzone (et aux suivants dans la foulée).

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Killzone : Shadow fall

Le prochain Killzone sur console de salon a déjà montré le bout de son nez lors de l’annonce de la Playstation 4. Ce jeu sortira sans doute en même temps que cette dernière. C’est d’après moi une autre raison pour se lancer dans la trilogie Killzone : afin de ne pas prendre l’histoire en route ou de ne pas passer à côté de ce qui sera peut-être un des premiers jeux de la PS4. Dans ce cas, Killzone 2 et 3 sont conseillés.

Concernant l’histoire, on apprend surtout qu’à nouveau les Helghast viennent attaquer les Humains sur leur terrain. On n’en connait pas beaucoup pour le moment, mais je vous laisse apprécier cette vidéo :

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Source : blog.us.playstation


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