Depuis que j’ai entendu parler de Jeanne d’Arc, je me suis
demandé si une jeune paysanne pouvait devenir un chef de guerre.
Je crois que oui. Rappelez-vous l’histoire
(vraie) de cet escroc qui bâtit une autoroute. A un instant donné, la
société est prête pour une transformation, mais il lui faut un catalyseur pour
la déclencher. Moins il en fait, mieux c’est, car la société sait se coordonner
pour atteindre un but. Celui du leader est, simplement, de révéler à la société
ce qu’elle a envie de faire. Sus à l’envahisseur, par exemple.
Et s’il manquait une Jeanne d’Arc à François Hollande ?