Libertinage, liaisons dangereuses et jeux interdits.

Publié le 28 mars 2013 par Alexcessif
Adultère: adulte & taire. Pas pour ma pomme donc puisque je reste un môme avec sa grande gueule donnant son avis sur tout et n'importe quoi.
Fidélité: Dose à ne pas dépasser: 99% (faut pas déconner non
plus!)
Je disais donc que, hier soir la dernière galanterie au Pin Galant.....


"JOHN MALKOVICH met en scène LES LIAISONS DANGEREUSES d’après Choderlos de LACLOS
Adaptation de Christopher HAMPTON - Version française de Fanette BARRAYA


Création : Janvier 2012 au Théâtre de l’Atelier / PARIS
Spectacle déconseillé au Jeune Public


Décors : Pierre-François LIMBOSCH
Costumes : Mina LY
Lumières : Christophe GRELIE
Musique : Nicolas ERRERA
Maître d'armes : François ROSTAIN


John Malkovich, homme de théâtre et de passion, signe une mise en scène théâtrale brillante de l'œuvre qui a marqué sa carrière au cinéma. Tout en respectant la tradition romanesque et la beauté de la langue de Choderlos de Laclos, il confie à de jeunes acteurs de la génération SMS le rôle de faire entendre magnifiquement ce grand classique de la littérature du XVIIIème siècle dans notre monde d'aujourd’hui.
La force du spectacle réside dans la volonté de Malkovich d'aller à l'essentiel et, plus que le moderniser, rendre le propos intemporel. La pièce suit l’intrigue imaginée par Laclos, sur plateau nu, sans décor, avec juste quelques meubles de toutes époques. En jeans et baskets avec, çà et là, quelques vestes, coiffures et corsets qui rappellent le XVIIIème siècle, portables à la main et tablettes dans le sac, neuf excellents comédiens incarnent les âmes perverties qui se "servent de l’amour" dans le seul but de relever un défi.
"Un petit miracle de jeunesse, de talent et, forcément, de perversité." LA CROIX
"La mise en scène est d’une troublante insolence libertine, allègre… Irrésistible." TELERAMA
"C’est avec plaisir que l’on redécouvre ces "Liaisons dangereuses" mises en scène par un maître du théâtre, où le romanesque flirte doucement avec la technologie." LE NOUVEL OBSERVATEUR"