L’animatrice TV Alessandra Sublet a décidé de raconter son baby blues, dans un livre qui paraîtra le 2 mai prochain ! Buzz&Girls vous en dit plus …
Alors que la naissance d’un enfant devrait être le plus beau jour d’une vie, certaines femmes peuvent vivre ce qu’on appelle le « baby blues ». Puisque l’arrivée de cet heureux évènement provoque souvent un grand bouleversement dans la vie d’un couple et un changement radical de vie, de jeunes mamans ont parfois dû mal à retrouver leurs repères quelques jours après la naissance de leur bébé.
Alessandra Sublet a elle aussi, eu beaucoup de mal à gérer la naissance de sa petite fille Charlie. « La naissance de Charlie est un véritable tsunami », confiait t-elle en août dernier à Paris Match, seulement deux mois après la naissance de sa fille. Elle explique par exemple que le retour à la maison a été particulièrement difficile pour elle et synonyme de « panique » : « Le premier bain … J’ai eu l’impression que j’allais la noyer ! Le premier pyjama, la première couche m’ont pris vingt-cinq minutes. »
L’animatrice de « C à vous » confiait ses « grands moments de solitude » dans une interview accordée à Elle : »J’ai beaucoup pleuré et j’ai même honteusement rêvé que mon mec disparaissait avec ma fille le temps d’un week-end pour pouvoir souffler. […] On lit partout que grossesse et bébé riment avec plénitude, mais on ne raconte ni la fatigue, ni les coups de blues. »
« T’as le blues baby »
Ce baby blues que beaucoup de femmes connaissent et qui reste encore tabou pour beaucoup, Alessandra Sublet a décidé de le raconter dans un livre intitulé « T’as le blues baby » à paraître le 2 mai prochain.
En attendant la sortie de ce livre, sa maison d’édition Flammarion a décidé de publier quelques extraits de son livre :
« J’imaginais qu’avoir un enfant, c’était un rêve auréolé de bleu et rose. Mon ventre allait s’arrondir sous le regard tendre de mon amoureux. Comme dans les films, je l’aurais appelé pour qu’il m’emmène, tel Zorro, de toute urgence à la maternité. J’aurais pleuré en entendant le premier cri de mon bébé. Jolie et épanouie, avec un beau sourire ultra-bright, je l’aurais bercé avec douceur. Mais rien, jamais, ne se passe comme dans les films, » raconte Alessandra Sublet.
« Quand [le baby blues] s’est invité dans ma vie, mon pire cauchemar a commencé. Jamais je n’aurais imaginé que, arrivée à la maison, je me sentirais si démunie, avec ma chute d’hormones vertigineuse, mes trente-quatre heures de sommeil en retard et, surtout, sans aucun mode d’emploi. »