Le capitalisme transpire de la tête aux pieds, mais le journalisme grand média sent la sueur à plein nez.
Les citoyens comprennent très bien qu'on puisse insister à soutenir l'impôt, comme source de fonctionnement de l'état. Ils comprennent les prélèvements sociaux comme participation solidaire, même sous une pression économique quotidienne.
Nous pouvons comprendre qu'il faille du temps, des réformes, de la révolte même certainement, pour changer une machinerie tombée sous le contrôle dominant de l’aristocratie financière, comme un racket institutionalisé. Ce qui est incompréhensible et même troublant, c'est la rangaine répétée comme un mantra par les médias, que nous devons rembourser la dette. Suite