Réalisation : Joël Franka
Interprètes : Patrick Timsit, Sylvie Testud, Dave, Michèle Moretti, Guy Lecluyse, Fabrizio Rongione, Sam Louwyk
Ecriture : Joël Franka, Benoît Mariage, Gladys Marciano
Distribution : The Walt Disney Company France
Production : Bonne Pioche Cinema
Co-production : Alizé Production / Novak Prod
Palmarès
Festival International du Film de Comédie de l'Alpe d'Huez 2013 : Sélection Officielle
Festival International du Film d'Amour de Mons 2013 (Belgique) : Prix du Public et de la Ville de Mons
"Quelque part dans les Ardennes, aujourd’hui… C’est parce qu’ils adorent leur maman qui est très gravement malade, que les membres de cette famille décomposée décident de lui offrir le plus incroyable des cadeaux d'adieu : Dave, le chanteur, son idole, en personne !"
L'histoire : Une famille en presque deuil tient à célébrer sa mère mourante une dernière fois avant qu'elle ne s'éteigne. Après délibération, il est convenu que leur cadeau d'adieu sera la venue de Dave- idole de la maman depuis toujours, - vienne lui chanter une chanson en personne. De passage en concert dans la région, c’est l’occasion de le lui demander. Bien sûr, rien ne se passe comme prévu.
"Une chanson pour ma mère" a tout du "petit" film charmant, drôle et émouvant. Pourtant, c'est plus que ça. C'est un grand film à dimension humaine, digne des plus belles comédies italiennes, teintées d’humour british. Cette famille des Ardennes est touchante par la simplicité de ses sentiments et complexe par les non-dits qui l’empoisonnent depuis trop longtemps. Sa force, une complicité à toute épreuve. Cette famille simple, c’est la vôtre, c’est la nôtre.
Et de nous entraîner dans cette histoire folle, drôle et poignante, d’une surprise qui tourne mal. Le talent du réalisateur Joël Franka, c’est de s'être entouré d'une distribution de comédiens exceptionnelle et d’avoir permis la révélation du chanteur Dave, qui fait preuve d’une irrésistible autodérision et d’une justesse de jeu remarquable.
« Une chanson pour ma mère » un film à voir, à revoir et à partager, pour se rappeler que s’il n’est pas nécessaire de dire aux gens qu’on aime qu’on les aime pour les aimer, c’est quand même mieux en leur disant.