Un don moyen de 127 euros
Les Restos du Cœur ont réussi à assurer ce service grâce à « la générosité heureusement toujours au rendez-vous ». Le don moyen s’est maintenu à 127 euros. Sachant qu’en 2012, 563.000 donateurs faisaient ainsi vivre l’association. Les collectes nationales dans les magasins et hypermarchés ont permis de récolter près de 6.500 tonnes de marchandises en hausse de 7%. Enfin, les ventes des « Enfoirés » sont en hausse, et leur soirée sur TF1 a permis de réaliser un nouveau record d’audience avec 13,6 millions de téléspectateurs.
Les chiffres des Restos du Coeur
155 millions : c’est le montant, en euros, de la valorisation estimée des heures de bénévolat.
115 millions : c’est le nombre de repas distribués lors de la dernière campagne 2011-2012. Lors de la création des Restos du cœur par Coluche en septembre 1985, l’association avait distribué quelque 8,5 millions de repas durant l’hiver.
92,8 millions : c’est le montant en euros que l’association a reçu sous forme de dons et de legs en 2011-2012. Il s’agit de la plus grande partie des ressources de l’association (51,9%).
870.000 : c’est le nombre de personnes accueillies.
563.000 : c’est le nombre de donateurs qui font vivre les Restos du cœur.
63.000 : c’est le nombre de bénévoles de l’association. L’année de sa création, l’association en comptait 5.000.
32.000 : c’est le nombre de bébés de moins de douze mois aidés.
2.040 : c’est le nombre de centres et antennes d’accueil répartis dans l’Hexagone. (Parmi lesquels des centres de distribution alimentaire, jardins et ateliers d’insertion, Restos Bébés du Cœur, structures de logement et d’hébergement d’urgence, accueils de jour, camions, bus, maraudes et autres centres d’activité.)
41% : c’est la part des personnes qui ont été accueillies “pour la première fois“ en 2011-2012.
10% : c’est la part des bénéficiaires retraités bénéficiaires du dispositif, ne pouvant espérer un emploi.
9% : c’est la part des demandeurs de moins de 25 ans. Des jeunes qui ne peuvent prétendre au RSA.
6% : c’est le nombre de personnes ayant un emploi mais qui doivent tout-de-même faire appel aux Restos du cœur afin de subvenir à leur besoin.
Source: La Tribune