Pour ça, il a engagé de brillants esprits, qui tentent à grands frais de se creuser la tête pour savoir comment apprendre à l’étranger résidant en Suisse quelques rudiments indispensables d’une des langues nationales.
Jusque-là, rien de très particulier à signaler.
Sauf que parmi les têtes pensantes choisies et nommées pour ça, on réfléchit à la question fondamentale suivante: comment expliquer notre travail complexe aux diverses administrations concernées? brochures, séminaires, les deux, aucun, des films, une BD, un voyage à Eurodisney?
Pour résoudre cette épineuse question en fonction du QI malléable du fonctionnaire apprenant, l’ODM a donc formé ces jours un important groupe de travail de fonctionnaires de divers horizons chargés de trouver comment on peut le mieux transmettre le message à d’autres fonctionnaires.
Une sorte de concentré moderne de l’arroseur arrosé, mais bien payé pour le faire. On gagne du temps à l’ODM et surtout on sait utiliser les dollars à bon escient.