Ce dimanche 24 mars, nous ne nous sommes pas battus contre les homosexuels. Le mouvement portait en lui des germes de révolution.
Nous étions des français libres, fiers de leur pays, de ce qu’ont construit leurs ancêtres ; nous représentions les classes moyennes qui souffrent d’être spoliées par l’État, malmenées par les taxes, les impôts, le mépris ; nous étions des catholiques excédés par les petits propos insultants des élus, par la cathophobie ambiante, par la destruction de toutes les valeurs que porte le christianisme.
Et le mépris a continué :
« une pluie de déjections homophobes. » (Denis Baupin, vice président de l’Assemblée national)
« une poignée d’individus. » (Arnaud Montebourg, membre du gouvernement)
« quelques serre-têtes et jupes plissées pensent sincèrement que nous allons reculer sur le mariage pour tous ! » (sénateur Jean-Pierre Michel)
Nous avons été gazés, frappés, expulsés, méprisés, embarqués violemment au poste de police (pour ma part, et celle d’une trentaine d’autres promeneurs). Cette vidéo est édifiante :
veillée sur les Champs interdits… par ktvideo1
Continuons le combat !
- Un appel à la démission de Valls sur le Salon Beige
- Enfin, l’Agrif, qui propose un soutien juridique à toute personne victime de violence policière.