Le Gulf Rescue Alliance (GRA) vient de publier un communiqué de presse relayé ci-dessous pour information.
EPA accusée de violer le Clean Water Act coûtant des milliards à BP et aux États du golfe du MexiqueDiscussion du PDG à propos de la technique de nettoyage des déversements de pétrole non-toxique sur Fox Business Network, le 3 mars (voir le texte original au bas de la traduction)
1er mars 2013, Dallas. En raison du procès au civil en cours, concernant les déversements de pétrole de 2010, à forts enjeux pour BP, le président de OSEI a donné une nouvelle orientation sur les destructions évitables soulignantla manière dont le géant pétrolier aurait pu économiser des milliards en dommages et en amendes dues au Clean Water Act si l'Agence américaine de Protection de l'environnement (EPA) n'avait pas soutenu les progrès de la science et des réponses aux déversements.La diffusion du dimanche 3 mars sur Fox Business Network présentera la technique de nettoyage des déversements de pétrole non-toxique, Oil Spill Eater II (OSE II), mettant en avant une solution avec un bon rapport coût/efficacité pour les entreprises pétrolières du monde entier, des eaux chaudes du Golf jusqu'aux eaux glacées d'Alaska.Le présentateur a interviewé le PDG de OSEI, Steven Pedigo, inventeur de OSE II, une enzyme biologique qui détoxifie puis transforme le pétrole et les déchets toxiques en source naturelle de nourriture pour les bactéries enrichies trouvées dans la zone d'un déversement. Le résultat final de ce processus se rapproche des 100 % de pétrole complètement retirés de l'environnement. Pedigo a parlé de l'histoire de son entreprise et de ses succès dans la suppression du pétrole et autres déversement de produits toxiques dans tous les types d'environnement, dont ceux difficiles à atteindre et les habitats sensibles. Pedigo a vivement contesté l'EPA pour avoir « violé le Clean Water Act, il existe pour imposer les dispersants toxiques à approuver au préalable et falsifier les tests et les résultats scientifiques pour justifier des protocoles de nettoyage des déversements de pétrole inadaptés utilisés dans le cas de la marée noire BP. »L'EPA et d'autres organismes fédéraux qui ordonnent les plans d'urgence en cas de déversement de pétrole sont responsables pour la sauvegarde des ressources US et de la santé publique. Pedigo affirme qu'en contradiction avec leur mandat, ils ont apparemment favorisé des méthodes de “nettoyage” dangereuses en utilisant des dispersants, dont des études indépendantes ont montré qu'ils sont plus dangereux pour la vie marine et la santé humaine que le pétrole. Durant la crise du Deepwater Horizon, les responsables du Golf, vivement préoccupés par l'utilisation excessive du Corexit(le dispersant chimique toxique utilisé dans des proportions sans précédent dans les eaux du Golf pour disperser et faire disparaître le pétrole dans la colonne d'eau), ont demandé spécialement l'utilisation de OSE II en tant que méthode alternative pour s'attaquer au déversement. Malgré des demandes répétées, dont certaines par BP lui-même, l'EPA a continué à imposer l'utilisation des dispersants et à justifier leur « équilibrage » destructif tout en bloquant les solutions non-toxiques.Comme un grand nombre d'industries et de groupes scientifiques indépendants, une organisation environnementale internationale, la Lawrence Anthony Earth Organization (LAEO) a enquêté sur les méthodologies actuelles de déversement et a recommandé l'utilisation de OSE II en tant que première réaction de nettoyage. « Le show TV mettant en vedette un produit qui a été utilisé en toute sécurité dans 30 pays et qui a nettoyé plus de 23 000 déversements, c'est un bon point de départ pour sensibiliser le public et les industries sur le fait qu'il existe de meilleures solutions qui permettent d'économiser à l'industrie pétrolière et gazière des milliards de dollars de nettoyage, de dommages et les amendes liées au Clean Water Act, sans parler de la protection de la santé humaine et de l'environnement. Nous encourageons les chefs d'industrie, les groupes environnementaux et les fonctionnaires fédéraux du domaine à revoir de toute urgence la méthodologie par souci pour tous les organismes vivants qui bénéficient des eaux propres », a déclaré la Présidente Internationale de LAEO, Barbara Wiseman.La LAEO est sur le point de publier un document sur sa position pour informer les professionnels des réponses d'urgence et les intervenants du secteur, réclamant pour une exclusion de l'utilisation des dispersants tout en mettant en avant des solutions alternatives. Ce document souligne la catégorie spécifique de la technologie de biorestauration que l'EPA a approuvée et enregistrée qui a subi des années de mises à l'essai et d'utilisation démontrant son efficacité proche de 100 % à éliminer un déversement de pétrole par des moyens non-toxiques et à un coût moins élevé. Certains des tests les plus récents ont été menés par, entre autres, une équipe scientifique de BP et le Ministère de l'Intérieur, et démontrent de meilleurs résultats.« L'Administrateur précédent de NOAA Jane Lubchenco, les représentants d'EPA et d'autres membres dirigeants du comité de l'interagence ont publiquement admis qu'à la fin, seuls 8 % du pétrole déversé dans le Golf ont été réellement enlevés, et apparemment ils ignorent les réalités statistiques en affirmant qu'ils ont mis en place une “réponse réussie au déversement”, ce qui est un mensonge absolu », a déclaré Pedigo.Selon un récent dépôt au tribunal de BP, 810 000 barils de “pétrole nettoyé” qui n'a jamais pollué les eaux puisqu'il a été récupéré directement du pipeline bien que ce montant soit ajouté dans les statistiques de nettoyage revendiquées par NOAA et l'EPA, augmentant artificiellement la réelle quantité de déversements pétroliers retirés de l'environnement. Indépendamment, le volume de pétrole contesté et les chiffres de nettoyage soulève une question : que s'est-il passé pour le reste des 2 millions de barils de pétrole estimés plus les dispersants chimiques laissés dans le Golfe du Mexique et comment ont été traités les marées noires qui apparaissent continuellement et les suintements non-naturels provenant de la fracture du fond marin dans la zone de Macondo ?« L'EPA et la Coast Guard semblent penser que la nature s'occupera du reste et ne prennent aucune mesure ; mais des scientifiques indépendants ont prouvé le contraire. Une évaluation objective montrerait que la toxicité ajoutée par les produits chimiques « nettoyants » est une violation du Clean Water Act car ces agents polluent l'environnement et ne supprime pas le pétrole, laissant les dispersants et le pétrole restant dans l'eau et dans le fond marin. La menace des amendes du Clean Water Act encourage faussement les systèmes de nettoyage qui cachent ou rendent rapidement le volume de pétrole indétectable, » a poursuivi Pedigo.Le programme TV expliquera comment le processus OSE II fonctionne et à quel point il est sûr pour l'environnement, en utilisant la propre bio remédiation de la nature afin d'éliminer efficacement les matériaux dangereux.
Cliquez sur le lien pour pour voir la grille de programmation :http://21cbtv.com/clearance-report/21cb2342-fbn.pdfPour plus d'informations : www.osei.us
CONTACT MEDIA :
SUSAN AARDE : GULF RESCUE ALLIANCE
susanaarde@gmail.com
(858) 531-6200
Tous nos remerciements à Isabelle Laurent pour sa traduction