Une revue pas comme les autres

     En ce début de printemps, j’ai eu un gros coup de cœur que je me devais absolument de partager avec vous : le lancement de la revue « Orbs, l’autre Planète ».

     Je comptais attendre d’avoir fini le premier numéro pour vous en parler, mais l’excitation est trop grande pour que je patiente ne serait-ce qu’un jour de plus. Il faut savoir, qu’en général, je ne suis pas du tout fan des magazines. Même s’il m’arrive d’en acheter un ou deux, de temps à autre, je n’arrive jamais à les lire entièrement. Après avoir dévoré en quelques minutes le ou les articles principaux qui m’intéressent, je me retrouve systématiquement à survoler le reste des écrits disséminés parmi un trop-plein de pages publicitaires.

     La revue « Orbs » m’est en quelque sorte tombée dessus alors que je flânais sur internet. Le court texte d’introduction dont voici un extrait m’a tout de suite séduite :

Tous les trois mois, au rythme des saisons, Orbs, l’autre Planète, explore les nouvelles manières d’être, de faire et de penser, à la croisée des traditions ancestrales et des expériences actuelles. Recherches d’avant garde, thérapies atypiques, traditions modernes, chefs d’œuvre de tous les âges, littératures nouvelles, récits de toujours, histoire invisible, mystères du monde, conscience élargie, changements de paradigmes, technologies extraordinaires, racines du futur…

     Ni une ni deux, je le commandais directement sur le site et le recevais à ma grande et heureuse surprise dès le lendemain matin. L’ayant entre les mains, je comprenais mieux l’appellation « livre-magazine » qui était mentionnée sur la page de présentation du site et que j’avais prise pour un léger dandysme. La taille, l’épaisseur et la présentation de l’ouvrage se rapprochent effectivement plus de celles d’un livre que d’une revue, et l’absence de publicité, tout comme l’usage non-abusif d’illustrations, renforce cette impression.

     J’entamais donc ce numéro comme j’aurais pu commençais un livre, c’est-à-dire par la première page, et non par les articles qui m’attiraient le plus. A l’heure où j’écris ces quelques lignes, je n’ai lu qu’un tiers des quinze « chapitres » proposés et mon intérêt est toujours, si ce n’est plus, vif qu’au début. Les sujets scientifiques et médicaux – qui ne sont pourtant pas mes domaines de prédiection – m’ont paru à la fois accessibles et instructifs, et le choix des extraits de l’œuvre de René Barjavel, plein d’ironie et complétement d’actualité.

     Voici donc l’enthousiasme avec lequel je dévore l’Orbs et la raison pour laquelle je vous invite vivement à aller visiter le site officiel de cette nouvelle revue et vous laisser tenter par le #0 : le commencement.

Plus d’informations sur www.orbs.fr