L’édition destinée aux scolaires, propose un rapprochement entre le conte Soudain dans la forêt profonde et cette peinture de Chagall de 1911, Moi et le Village.
Dans les deux en effet, une nostalgie d’un temps heureux qui n’est plus, un paradis perdu, le lien profond et capital entre l’homme et l’animal, les animaux, tous autant qu’ils sont, une tristesse poétique, l’espoir de l’artiste.
Pour animer votre contemplation, un morceau du disque que j’aime tant de chez Naïve, Les Musiques de Chagall, dans lequel en 2003, un groupement des musiques qui l’avaient accompagné et inspiré avait été réalisé. Ici, “une chanson de la vieille Russie, joliment nommée Voici que tombe le brouillard ; ce titre me rappelle celui du conte d’Oz.