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M6: Sommaire de « 66 minutes » ce dimanche 24 mars

Publié le 24 mars 2013 par Buzzmedias @buzzmediasnet
M6: Sommaire de « 66 minutes » ce dimanche 24 mars

Ce dimanche 24 mars à 17h20, Xavier de Moulins présentera un nouveau numéro du magazine « 66 minutes » sur M6. L’émission proposera notamment une enquête sur Asaf Avidan. 

Faits divers, nouveaux comportements des Français, conflits à l’étranger, coulisses du monde politique ou du spectacle, le magazine « 66 minutes« , revient sur les sujets chauds de l’actualité . Enquêtes, décryptage, immersion en coulisses, l’émission propose chaque semaine de revoir autrement l’actualité pour mieux comprendre et analyser les évolutions du monde qui nous entoure et nous concerne.

buzzmedias.net vous propose de découvrir le sommaire de « 66 minutes » ce dimanche 24 mars:

- La voix en or: C’est l’histoire d’un tube qui n’aurait jamais dû exister. Au départ, Asaf Avidan, un jeune Israélien, se destinait à devenir dessinateur. Et puis voilà qu’à la suite d’une rupture amoureuse, il écrit une chanson. A sa grande surprise, celle-ci va faire le tour du monde, et comble de l’ironie, dans une version remixée qu’il déteste ! Dans les quartiers branchés de Tel Aviv, rencontre avec ce jeune prodige dont on compare souvent la voix à celle de Janis Joplin.

- La folie vernis à ongles: Bleu piscine, vert fluo ou jaune poussin : Mélanie, étudiante, peut passer des heures à choisir sa couleur de vernis. Elle en possède plus de 100 flacons, pour une valeur de 500€. Comme elle, les Françaises se sont entichées de ce produit, + 50 % de ventes en 2 ans, et les « bars à ongles » se multiplient. Fini le vernis de mamie, c’est aujourd’hui un accessoire de mode, qui colle aux collections de prêt-à-porter. Mais attention : certains produits bon marché peuvent s’avérer dangereux pour la santé.

- Je n’ai pas tué mon père: C’est le combat d’une grand-mère contre sa petite fille. La cour d’Assise de Nice devait se prononcer cette semaine sur l’assassinat d’un riche homme d’affaire, Christophe Dalmasso, tué il y a dix ans dans des circonstances mystérieuses. Le meurtrier a été identifié, mais la mère de la victime est convaincue qu’il aurait agi sur les instructions de Lucie, la propre fille de Christophe Dalmasso. Elle accuse sa petite fille d’avoir fait tuer son père pour toucher un héritage de 15 millions d’Euros. Lucie se dit très blessée par ces accusations et proteste de son amour pour son père.

- Bijoutiers, alerte aux braquages: Après la mort d’un bijoutier d’Albertville tué par des braqueurs, enquête sur une profession en état d’alerte. Si l’on en croit les statistiques, il y a près d’un braquage de bijouterie par jour ! Ces commerces peu sécurisés sont devenus une cible privilégiée pour les petits malfrats qui peuvent y rafler des stocks de bijoux en or facilement monnayables. Témoignage d’un ancien braqueur : James, 31 ans, qui vivait de petits trafics s’est attaqué à une bijouterie de Metz. Pour faire face aux attaques, ces commerçants investissent dans des équipements de sécurité comme des vitres quasiment indestructibles ou des fumigènes qui aveuglent les voyous.

Cette saison, outre un nouveau présentateur, un nouveau décor et un nouvel habillage, le magazine propose une seconde partie à 18h40, composée de deux ou de trois sujets et intitulée : « Les histoires qui font l’actu« . Au sommaire de l’émission ce dimanche 24 mars:

- Cités, la gueule de l’emploi « wesh, bien ou  quoi ? »: C’est sa façon à elle de dire « bonjour » à ses amis. Elle s’appelle Sarah, elle a 20 ans et cette jeune mère de famille qui a grandi dans une cité cherche un travail dans la restauration. Seul problème, Sarah a un look et une façon de parler typiques des quartiers qui rebutent certains employeurs… Et il n’est pas facile de s’en défaire. Elle a donc décidé de suivre une formation d’un nouveau genre : une professionnelle, qui vient elle-même des cités, apprend à ces jeunes filles à « entrer dans le moule » en changeant leur apparence, mais aussi en travaillant leur élocution et leur ponctualité. Codes, langage, vêtements: enquête sur cette frontière invisible qui peut mettre certains jeunes à l’écart du marché de l’emploi.

- Ma coloc’ est une mamie: Pablo, 21 ans, étudiant à Paris dans une école de haute-couture vit en banlieue avec une retraitée de 87 ans au caractère bien trempé. Katia, une jeune femme de 26 ans étudiante en italien partage un 200 mètres carré à Paris avec un ancien patron de boite de nuit de 87 ans également. Tous les deux ont choisi de cohabiter avec une personne âgée. Sur le plan économique, c’est un très bon plan : pour 200 euros par mois on peut vivre à Paris dans un logement confortable alors qu’une simple chambre de bonne se loue pas moins de 400 euros. Mais en échange de cette bonne affaire, il faut savoir faire preuve de patience et consacrer du temps à la vieille dame ou au vieux monsieur dont on partage le logement. Il y a des moments de tension mais il s’instaure aussi souvent une complicité inattendue.


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