Belle émotion hier sur la scène de la maison des étudiants... A la fois parce que ceux qui ont « vécu Dylan » s’y sont retrouvés et parce que ceux qui découvraient cette évocation sentaient obscurément ce que cette jeunesse des années beatnick avaient encore à leur dire...
Plutôt qu’une longue évocation, et en attendant le film, je donnerai à lire quelques extraits de la pièce qui ont bien marché auprès du public... Je me limiterai à trois extraits afin de laisser au lecteur le soin, s’il le désire, d’aller un peu plus loin.
J’ajouterai, avant cette série, l’un des commentaires simples et forts reçus sur ma boite mail le matin suivant la représentation, au terme d’une nuit quasiment blanche car, agité par l’émotion d’un spectacle, on dort rarement bien !
« Merci pour la qualité de ton texte, celle du travail de Camille, et toute cette nostalgie de la jeunesse hippie, j'y étais ! »