Waterval Boven est un site archéologique découvert il y a peu et faisant apparaitre le plus ancien calendrier connu de l'histoire humaine et aussi à ce jour la plus ancienne construction humaine car tout ceci remonte loin, à une époque qui défie les archéologues , en - 75 000 av JC.
La découverte de ce complexe et d'autres environnants remontant à la même époque continue d'être aujourd'hui étudié. S'étendant sur une surface égale à celle de Johannesburg, les scientifiques ont dénombré ces dernières années quelques 200 000 stèles en pierre à travers le
paysage. La plupart ont une signification encore inconnue mais apporte un trouble sur l'origine des premières civilisations.
Les
éléments pointent vers une civilisation qui a vécu la pendant des milliers d'années et qui a exploité pendant tout ce temps les mines d'or de l'Afrique du Sud .
Ces monolithes en structures circulaires pour la plupart ont été au début qualifiés par les scientifiques d'anciens parc à bétail jusqu'à la découverte de ce qu'on nomme aujourd'hui le calendrier d'Adam. Les pierres de ce calendrier ont été amenées d'une région plus lointaine, ce qui a mis la puce à l'oreille des chercheurs. Puis petit à petit on s'est aperçu que cette structure était orientée selon les points cardinaux terrestres et qu'elle montrait les équinoxes et les solstices.
Puis les scientifiques ont daté le site comme remontant au moins à - 75 000 ans , ce qui remet en cause beaucoup de choses sur le développement des civilisations. Ce calendrier est situé exactement sur la même longitude que la pyramide de Gizeh , 31 °. Trois monolithes du calendrier sont alignés en fonction de la ceinture d'Orion, lorsqu'elle se levait à l'horizontale il y a 75 000 ans. Récemment, on a découvert qu'un monolithe tombé du cercle extérieur qui marquait le lever du soleil à l'équinoxe d'automne avait la forme de tête de faucon d'Horus. Ce site suscite de plus en plus d'intérêt depuis quelques années et pourraient remettre en cause de nombreuses convictions scientifiques.
Trois autres sites commencent à être explorés de la même manière. Il s'agit de Machadodorp, Caroline et Dullstroom.
Il existe encore des milliers de ruines à travers l'Afrique australe, certaines détruites par négligence, exploitation forestière ou agriculture qui ne sont pas encore étudiées. Mais tous les monolithes de la région posent déjà un sérieux problème aux archéologues. Car ils sont beaucoup trop nombreux pour la population qui était censé exister en cette région et à cette époque. Des routes antiques commencent à être découvertes depuis cette région et menant jusqu'au Mozambique et au Bostwana. Ces routes de plusieurs centaines de kilomètres auraient nécessité un travail et un matériel inconcevable à mettre en oeuvre pour les populations africaines de l'époque.
La découverte d'artefacts enfouis laisse penser à une occupation prolongée qui s'étendrait sur 200 000 ans. Les scientifiques sont divisés farouchement sur le sujet. L'exploitation des mines d'or fait apparaitre sur cinq mines des traces d'exploitation remontant bien avant l'édification du calendrier d'Adam.
Quoi qu'il en soit , les découvertes de l'Afrique australe n'ont pas fini de dévoiler leurs mystères. Avec elles se trouvent remis en causes les premières civilisations, l'intelligence humaine de l'époque et son activité. Cette histoire nous emmène aux confins de l'humanité et de l'émergence d'Homo Sapiens, nous suggérant de repenser l'histoire de l'humanité depuis ces profonds mystères des terres africaines.
Source : http://myterieux.centerblog.net/