Qui mieux que nos amis britanniques pour donner à un phénomène générationnel le nom de notre cher Président ? Au Royaume-Uni, les tribulations amoureuses de Nicolas Sarkozy n’inspirent pas que les journaux, elles donnent aussi des idées aux scientifiques.
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Ce que les chercheurs britanniques appellent le «syndrôme Sarkozy» est en fait un besoin que ressentiraient les hommes, après un second mariage, de reconquérir une femme plus jeune (Carla Bruni, 40 ans, a 13 ans de moins que Nicolas Sarkozy). Ce syndrôme expliquerait la formidable affluence masculine des cliniques de chirurgie esthétique britanniques, comme le rapporte l’AFP.
De janvier à mars, les consultations pour des injections de Botox au Royaume-Uni ont bondi de 57% chez les hommes, par rapport à la période équivalente de l’an dernier, selon le groupe de recherche médicale britannique Haley.
Les hommes, fraîchement remariés, ne veulent pas avoir l’air de vieilles peaux à côté de leur nouvelle épouse. Conséquences : légères injections de Botox, suppression des poches sous les yeux et du double-menton. Tout ça pour rendre monsieur confiant et madame fier de lui.
Nicolas Sarkozy suivra-t-il l’exemple de Silvio Berlusconi, 72 ans et paraissant 20 ans de moins ? J’en doute !
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