Tribune pour Alexandra chroniqueuse pour Leshaker sur le thème des princesses.
La raison de cet énervement ?! On me copie de toutes parts…
La première fois, je n’ai trop rien dit. La seconde (reprise flagrante carrément d’une partie de mon site internet), j’ai protesté. La troisième fois, je viens l’écrire sur l’espace libre de ce bon vieux Shaker, tout en espérant ne pas t’irriter, chère princesse.
Oui, la rédactrice que je suis s’insurge de constater que quelques-unes de ses consœurs ont visiblement un univers de création littéraire limité, puisqu’elles piquent allègrement mes mots, expressions et parfois pires, extraits entiers de mes articles.
Chère princesse, je ne sais pas ce que tu penses de ces affaires de plagiat, mais en ce qui me concerne, ça m’énerve.
La pluralité des personnalités est telle qu’elle devrait empêcher ce genre de problème. Et pourtant, ta rédactrice constate qu’elle n’est pas la seule touchée !
Télésecrétaires, graphistes, créatrices…La liste de celles qui se sont vues plagier est longue.
D’un côté, tu peux penser que c’est un « honneur », dans le sens où cela prouve que les idées sont appréciées, mais d’un autre, on peut plutôt voir cela comme une plaie…
Le reflet dans le miroir est celui de personnes sans personnalité, volant les traits d’esprits des autres et les faisant passer pour les leurs…
Le jour où les clients s’en apercevront, cela fera mal. Maigre consolation, mais petit réconfort quand même.
Ta rédactrice est désolée d’aborder ce sujet, mais au bout de quatre ou cinq fois où elle constate qu’on lui a « volé » ses mots, la coupe est pleine…
Chère princesse, j’espère que tu ne m’en veux pas de te parler de tout ceci, Drôle de Plume voit Leshaker comme une ambiance « autour-de-la-machine-à-café » et te raconte les aléas de son univers de rédaction web comme ils viennent, avec de bons et mauvais moments.
Aujourd’hui, ta rédactrice évoque un travers. Demain, tu auras de la légèreté.
Ceci est un cri qui vient du cœur : arrêtez de copier ! Pour des supposées littéraires, montrez que vous en avez sous la plume sans voler l’encre des autres…
Idem pour mes amies princesses créatrices qui ont connu les mêmes déboires…Je vous soutiens, les filles.