L’histoire moderne de l’espèce commence avec l’agriculture. Un réchauffement, certaines céréales deviennent abondantes. La population s’accroît. Refroidissement. Population piégée. Elle doit innover pour survivre. Elle invente l’agriculture. Et cette innovation se fait en sacrifiant l’intérêt individuel au collectif. Et cela semble s’être répété, sans arrêt. Innovation, accroissement de la population, crise, l’individu doit s’adapter.
Et s’il y avait une autre façon de procéder ? Et si l’espèce humaine acceptait l’incertitude de son sort, et s’organisait pour en tirer partie ?