Vous dites préférer les histoires d'Ampus , surtout celles du passé. En voici donc une datant de 1982:
Les enfants du village, sous la conduite de Rosette Troin (à gauche sur la photo 2) , Berthe Paulet à côté, Agnès Tenteniez et France Dubois (à droite, photo 2) se réunissaient chaque semaine pour animer des ateliers éducatifs au sein du club Léo Lagrange de l'époque, créé en 1977 par Jean Martin (photo 1 - costume-cravate) et ses amis.
Un atelier était chargé de faire un château fort en pain d'épice qui , une fois fini , pesait pas moins de 30 kilos !!.Lorsqu'il fut terminé , chacun l'admira car il était magnifique. Une petite fête fut organisée, des personnalités furent invitées dont Maurice Michel , maire , ainsi que les parents des petits bâtisseurs.Le président du Club Léo Lagrange était M. Marcel Faure (photo 1- chemise blanche, belle chevelure brune et sourire sympa), également directeur de l'école, il donna le feu vert pour ...l'attaque du château fort. Les fortifications furent bien vite mises à mal. Tout fut englouti en moins de deux !!
Si vous reconnaissez des enfants (la quarantaine maintenant), dites le.Je reconnais Bella, peut-être Leslie et sa soeur Lidwine. Aidez-moi pour les autres.
Photo 3 , montant la garde autour du château fort en pain d'épice , à gauche France Dubois et à droite Agnès Tenteniez.Cliquez sur ce qui est en rouge .
1982 - Ampus
Une autre activité réussie.
Il existe à Gertwiller :
le Musée du pain d'épices et de l'art populaire alsacien qui retrace l'histoire de cette denrée, on y trouve aussi des moules anciens, des emporte-pièces, des images ainsi que du matériel qui servait à sa fabrication. Il se trouve au-dessus d'un atelier de fabrication de pain d'épices que l'on peut également visiter .
Ne m'écrivez pas pour me dire que c'est un sujet "gnangnan". Ce n'est pas ordinaire de trouver des bénévoles aussi imaginatives pour s'occuper des jeunes du village chaque semaine durant une année scolaire. Ces bénévoles méritent bien un coup de chapeau , fût-il rétrospectif.Vous remarquerez que dans l'article de 1982 il n'y a pas un mot pour elles, pour les féliciter et les remercier...