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. Back in the game

Par Flopinours @flopinours

Il faut savoir que ces dernières années j’ai majoritairement été ce que j’aime appeler « un joueur passif ». C’est à dire que je me renseignais beaucoup sur les jeux-vidéos – nouveaux tests, conférences, news, etc. – mais que j’y jouais en fait très peu.

Ouais, c’est pas bien.

1up

En gros, seulement deux licences m’ont perduré : Guild Wars et Minecraft. Deux jeux pc sur lesquels je passe beaucoup (trop ?) de temps, mais toujours de façon périodique. Il se peut que je n’y touche pas pendant 6 mois puis que du jour au lendemain je ne fasse plus que ça.  Voyez-vous, le plaisir du jeu, c’est comme tout : un coup ça va, un coup ça vient. Alors quand il est là, autant en profiter. Quelque part, c’est une façon pour moi de rétablir l’équilibre.

Au delà de ça, par contre, le néant. Tout juste quelques trucs sur wii, le temps d’un après-midi, et une ou deux parties sur les derniers blockbusters à la mode via les PS3 de mon entourage.

Pourtant, depuis le début de l’année, je me suis repris en main. A force de consommer de la news sans jamais toucher au produit final je me suis dit que je devais me bouger. Que je devais me forger un avis par moi même. M’y confronter, le tester. Quitte à souffrir manette en main. Question d’équilibre, encore. Et l’appel du pad, aussi. Un peu. 

J’ai donc réouvert mon compte Steam, profité des soldes de janvier (radin ? noooon.. ) et me suis lancé dans un univers totalement différent de celui des grosses licences : celui du jeu indépendant. Vous savez, ces petits studios qui ont le vent en poupe avec leurs jeux à 10€.

A bien y réfléchir, on pourrait penser que c’est fait pour moi. Et quand je dis « moi », je parle bien sur de cette catégorie de joueurs qui se situe entre le casu et le hardcore gamer. Ces gens qui n’ont pas forcément les moyens ou l’envie de dépenser autant de fric pour une console ou un bon pc. Ou plus simplement, ceux qui ne trouvent plus leur compte dans les grosses productions actuelles.

En cela, le jeu indépendant est la solution toute trouvée puisqu’il privilégie le fond et la forme aux détriments des grands principes du marketing. Au revoir les copier-coller, bonjour l’imagination ! 

D’ailleurs, je serai bien en peine de vous en dresser un portrait type. C’est pour ça qu’aux aléas de mes coups de cœur, je vous parlerai de quelques uns des représentants du genre. Des plus connus aux plus prometteurs. Des plus artistiques aux plus techniques. Des plus punitifs aux plus funs.

Et en attendant la suite, n’oubliez pas : Jouez !



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