Des dépenses récurrentes qui vont peser sur les finances de la ville longtemps, au moment où les recettes des droits de mutation, vache à lait des delanoistes depuis 2001, s'effondrent.
Malgré les grandes déclarations sur l'intérêt des enfants, on ne prend pas en compte la particularité parisienne qui fait que la vie y est plus stressante que dans des villes plus petites et les temps de transport plus longs. L'adhésion de nombreux parents au principe de la semaine de quatre jours n'y est pas étranger.
Enfin ... ne reste plus désormais à l'opposition qu'à soutenir la lutte des enseignants et à promettre qu'en 2014 une remise à plat complète du système d'accueil des enfants sera engagée et le dernier mot donné aux Parisiens par référendum, n'en déplaise à ce gouvernement insensé auquel Delanoë sacrifie nos intérêts tant il brûle d'envie d'y figurer.