Et bien, ceci n'a pas empêché Cohen-Solal de s'insurger il y a quelques jours contre la durée de la procédure touchant les Tiberi !!!
Elle qui a été rémunérée pendant des mois par le contribuable lillois pour un travail qu'elle ne faisait pas n'a jamais eu un mot de regret à ce sujet. On pourra donc aisément lui adresser les reproches qu'elle fait à ses adversaires politiques : " Vous n’avez jamais manifesté votre volonté de laver le déshonneur ... Personne n’a jamais entendu venant de vous la moindre déclaration ... pour garantir que notre démocratie soit exemplaire !»
Evidemment, pas un organe de presse n'a eu l'idée de lui poser la question de cette incohérence.
Quant à Delanoë, dont on attend toujours qu'il exige de Cohen-Solal qu'elle démissionne ou qu'il lui retire sa délégation d'adjointe, conformément à ses grandes proclamations de vertu, il n'a fait que répéter par communiqué sa vieille antienne pour dénoncer ce qui "entache l’honneur de Paris et des Parisiens". La triple condamnation de son adjointe ne doit pas entrer dans cette catégorie ...