Pourtant Geneviève de Fontenay n'avait pas du tout les mêmes mots à l'époque : « J’ai l’habitude de toute façon avec Endemol. De toute façon, je connais leur acharnement. C’est minable. Ils feraient mieux de me laisser tranquille finir mes jours. J’ai 80 ans, qu’ils laissent mes derniers jours en paix. Est-ce que ça vaut la peine de s’acharner contre moi comme ça ? On la fait notre élection. On me passera sur le ventre s’il faut mais je la maintiens. Je suis comme les sidérurgistes de Florange, on ne m’abattra pas comme ça ».
La paix, pas la guerre ! Elle a bien raison !