Dans mon salon traîne un parfum de fin de dimanche soir, une odeur de thé, et de vieux journal, sur fond de jazz, la radio réglée sur FIP.
Dans mon salon s’étirent les heures, des heures de douceur cotonneuse, des heures de partage de paroles et de silences.
Des heures à oublier, à se souvenir, à se rêver.
A rêver de voyages, ceux que nous allons faire bientôt, celui du mois à venir, de notre envol dans un pays pas si lointain, d’un autre dimanche soir, un dimanche soir ailleurs
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