Entre 2010 et 2012, l’association Oceana a fait analysé l’ADN de 1215 échantillons de poissons provenant de 674 vendeurs et restaurants dans 21 Etats américains. Résultat de l'étude : 33% des poissons ne correspondaient pas à leur étiquetage.
Les poissons les plus pêchés, le vivaneau et le thon, sont les plus à risques. Sur 186 échantillons étiquetés « vivaneau », 161 n’en étaient pas. 59% des morceaux vendus comme du thon étaient en fait un autre type. Le cas du thon blanc est particulièrement alarmant, puisque 84% des échantillons analysés étaient en réalité de l’escolar, une espèce pouvant causer de sévères problèmes de digestion.
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